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Vous trouverez toutes les photos des C/R de sorties dans la rubrique "PHOTOS"

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SORTIE CIDRERIE 4 & 5 Mai 2019

         Samedi 8h15. 9 voitures (+ 1 d'accompagnement) font le tour du rond point de Coumassotte avant de se diriger vers Saint Perdon par les 4 voies. C'est le départ de ce week end "cidrerie" à destination du pays Basque. Destination finale: la Cidrerie du fronton à Arbonne en soirée. D'ici là seront parcourues les routes et "bosses" de Chalosse par Mugron où les deux voitures de Sylvie et de Jean Paul se joignent au convoi. Montfort en Chalosse; cap au sud; Poyartin, Habas. Puyôo: Nous voici en Béarn. Le traditionnel arrêt "casse-croûte" a lieu au bord du gave de Pau. Nouveau départ: Salies de Béarn, Saint Palais où le groupe se scinde involontairement avant de se retrouver... Saint Jean Pied de Port: on se contente de longer les remparts. Dès le bifurcation vers Saint Etienne de Baïgorri les choses sérieuses commencent au pied  de la montée du col d'Ispéguy, atteint sans encombres au bout de 8 kilomètres d'efforts. Descente sur le raide versant espagnol avant la remontée vers Dantcharia. Le repas est pris au goût de chacun en "venta" ou sous forme de pique nique. Fin du parcours au camping Maya à Acotz-Saint Jean de Luz où les mobil homes nous attendent. Certains prennent un peu de repos tandis que d'autres font encore un "saut" à Saint Jean de Luz où la promenade est quelque peu ventée mais la vue sur la baie toujours belle. Après l'apéritif à l'abri pour cause de grosse averse, départ "covoituré" pour le repas tant attendu à la cidrerie. La belle tablée de 21 personnes  s'installe avant de déguster tour à tour la succulente omelette à la morue suivie d'une non-moins goûteuse et copieuse côte de boeuf-frites-salade et bien sûr de quelques copas de txox, cidre basque tiré au tonneau. Amusant. Pour le "petit creux" supplémentaire on pouvait compter sur l'ardi gazna (fromage de brebis basque) accompagné de confiture de cerise noire. Retour repus au camping en fin de soirée.

        Dimanche: Petit déjeuner-viennoiseries pris en commun devant les mobil homes et journée libre selon les possibilités de chacun: marché de Ciboure, rentrée directe à Mont de Marsan ou retour en mode flannerie.

Un week end apprécié de tous. Dès le lendemain matin, certains participants en redemandaient...

 

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CHEMIN DE SAINT JACQUES - ETAPE 2

31 Mars 2019

"L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt", dit le proverbe. Moins une heure de sommeil en raison du changement annuel à l'heure d'été mais une heure de plus pour rouler sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. La vingtaine de courageux de notre club et leurs 10 voitures auxquelles il fallait ajouter le Range Rover "d'assistance" de Jacques T. avaient donc du temps devant eux en ce dimanche 31 mars. Départ 8 heures à la fraîche en direction d'Argagnon, près d'Orthez fin de la première étape effectuée en 2016 et point de départ de cette deuxième étape. Il fait beau.
Trajet de "liaison" avec ravitaillement-essence à Sault de Navailles pour certains. Arganon: début effectif du parcours "chemins et petites routes" après avoir franchi le Gave de Pau. Un premier court tronçon, un peu raide et raviné mettait nos 2CV et autres Dyane, Ami et Visa à l'épreuve. Sans problème... Mais voici déjà le traditionnel arrêt-viennoiseries près de l'ancienne abbaye de Sauvelade. Alors restaurés, nous pouvions visiter l'église où une vidéo retraçait l'histoire des lieux et donnait des indications sur le village. Retour sur le chemin. Bientôt se profilait devant les capots ce qui devait constituer le "passage clé" de la journée: 95 mètres de dénivelé pour 370 mètres de long: beau pourcentage franchi sans difficulté lors de la reconnaissance quelques jours auparavant... mais le terrain était aujourd'hui bien sec et poussiéreux; si l'on y ajoutait des cailloux instables il devenait quasi infranchissable: Plusieurs tentatives - gare aux embrayages, plusieurs échecs... Seule la Dyane d'Alain et Agnès parvenait sans assistance au sommet. Tandis qu'un agriculteur local proposait avec son 4X4 de faire éviter la difficulté par un autre itinéraire, quelques voiture profitaient de la présence du "Range" de Jacques pour se faire tracter jusqu'au sommet de la butte. Amusant exercice... L'aventure, c'est l'aventure! Jonction entre les deux groupes un peu plus loin. Direction maintenant Ogenne-Camptort et nouvel arrêt près de l'étonnante table d'orientation, digne d'un film de science fiction. Les grands sommets pyrénéens étaient visibles au loin bien que quelque peu effacés par la brume. Déjà midi sonnait. Franchissement d'un gué indiqué sur la carte... à sec. La table du pique nique était dressée au bord du Gave d'Oloron. Partage et convivialité comme à l'accoutumé.
L'après midi débutait par la visite du camp de Gurs où 25.000 républicains espagnols furent internés lors de la Retirada à la fin de la guerre civile en 1939 suivis par des "indésirables" et des juifs, camp d'internement devenant camp de déportation. Le cimetière juif, notamment impressionne, non loin de la voie ferrée sur laquelle évoluaient des convois de triste mémoire.
Le trajet se poursuivait alors dans des paysages plus rieurs, typiquement basques de prés verdoyants parsemés des taches blanches des moutons. Ainharp, Lohitzun et un joli parcours de crêtes...
Encore quelques bouffées de poussière près d'Uhart Mixe ... et le convoi atteignait Harambeltz, chapelle (fermée) sur le "vrai" chemin de Saint Jacques. Ostabat se profilait enfin et marquait la fin de l'étape. Point de convergence des voies du Puy, de Tours et de Vézelay Ostabat voit passer de nombreux "jacquets", rares aujourd'hui, mais la date  précoce de notre balade était choisie pour gêner le moins possible les courageux marcheurs.
A partir d'ici le chemin s'approche de la frontière avant de passer en Espagne, et s'éloigne donc de Mont de Marsan. La poursuite de "l'aventure" demandera une organisation plus lourde. Mais le versant espagnol propose de nombreuses pistes...

 

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TELETHON CIRCUIT DE NOGARO

          Dernière mini sortie ce 8 décembre à l'occasion du Téléthon sur le circuit de Nogaro. 3 voitures du club se retrouvent au rond point de la route du Houga: Jacques et Jean Michel rejoignent les "petits nouveaux" du club: Maxime et Nolwenn aux alentours de 14heures. 45 kilomètres plus loin après avoir traversé Artassenx, le Houga, Perchède  et Magnan ils retrouvent sur la "pit lane" Patrick venu lui aussi en 2CV, et qui officie à la vérification des équipements de sécurité (casques) des participants. Chacun se laisse tenter et après avoir versé sa modeste contribution pour le Téléthon choisit sa voiture: sanglé aux côtés d'un pilote de l'ASA Armagnac-Bigorre Jacques a choisi une puissante Clio RS; Maxime et Nowenn préfèrent une rapide BMW et Jean Michel une Catheram. Jacques en redemandera et testera une belle BMW 12 cylindres. A l'issue de ces séries de 2 tours, l'occasion est donnée de visiter le PC-Course du circuit. Le retour s'effectue sans encombre alors que le jour décline, par Caupenne, Laujuzan, Montguilhem, Villeneuve de Marsan.
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2CV CROSS AYDIE 16 SEPTEMBRE 2018

   Depuis longtemps nous avions prévu une sortie à Aydie pour le 1er  2CV cross. La compétition s'est déroulée les 15 et 16 septembre sur le sélectif circuit de terre du Madiranais, combiné à la finale de la coupe de France de camions-cross.
Seules deux voitures du club, celles de Patrick E et Jean Michel N ont pu s'y déplacer le dimanche; notre ami Patrick S était présent en proche voisin pour s'occuper de la mécanique d'un team.  Dommage pour les montois car le temps était de la partie et la température estivale. Le public avait d'ailleurs bien compris qu'il se passerait  des choses sur la piste et était venu nombreux, souvent en famille. Les courses furent comme l'on pouvait s'y attendre spectaculaires. Le joli circuit, dont les abords sont sans cesse améliorés sait se mettre au goût du jour, notamment par la couverture vidéo réalisée à l'aide d'un drone. Les courses donc furent intéressantes et disputées. Il faut un gros coeur aux pilotes pour se lancer pied au plancher dans les diverses courbes, parfois bien traitresses, comme le "gauche" N°2 juste après le départ, et le  "droite " N° 3 en descente et léger dévers: il faut savoir manier le volant. Au passage, il fallait remarquer l'étrange position de conduite des pilotes dont le baquet est en position centrale pour équilibrer la voiture, ce qui les condamne  à un gros décalage par rapport au pédalier et au volant...
Les courses de camions furent elles aussi  très disputées.
La parade de milieu d'après midi réunissait une douzaine de 2CV venues de la région, suivies par le convoi de camions décorés. A l'issue de ce tour partiel de circuit devant le nombreux public, et pendant qu'avaient lieu les démonstrations d'un camion d'assistance du Dakar et de cross cars un sympathique rafraîchissement fut offert par le club des Vieux Chevrons de Corneillan. Il fut le bienvenu compte tenu de la chaleur. Un grand merci à nos homologues gersois.
Belle journée donc ; nous espérons plus de participants montois lors d'une prochaine édition.
 

vidéo Youtube: https://www.youtube.com/watch?v=EbCShx9lkhI

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AUBUSSON-PLATEAU DE MILLEVACHES-LAC DE VASSIVIERE
24-27 juin 2018

       Lancée de longue date, l'idée d'un périple vers la Creuse et le plateau de Millevaches avait du mal à se concrétiser. C'est désormais chose faite puisque la sortie a eu lieu sur 4 jours du 24 au 27 juin 2018.

      8 heures précises à Mont de Marsan, plein fait et panier pique nique dans le coffre, 5 voitures s'élancent par la belle matinée de ce 24 juin. La 6ème 2CV, celle de Catherine et Patrick rejoint le groupe à Saint Justin. Longue lignes droites vers Casteljaloux, Marmande, Miramont de Guyenne... Il sera difficile dans une semaine de ne pas dépasser le 80km/h, même en 2CV!!! Eymet alors que sonnent les 10 coups du milieu de matinée; Jean Bernard et Concepción nous rejoignent autour du café et des traditionnelles viennoiseries offertes par le club. A Bergerac nous quittons la "grande route" pour bifurquer à l'Est vers Vergt. A midi ayant évité Périgueux le convoi s'arrête sur une aire de pique nique repérée sur Google Earth. Nous avons même droit à un concert de cor de chasse.

      Après une courte sieste nous repartons par de pittoresques petites routes de campagne qui permettennt d'admirer quelques très belles propriétés périgourdines. A Arnac-Pompadour, célèbre pour ses haras nous faisons un ravitaillement en carburant avant de nous ré-élancer vers Uzerche, Bugeat qui se trouve déjà sur le plateau de Millevaches tant attendu. Arrêt à l'entrée du village éponyme pour une photo de famille devant le panneau "Millevaches". Ce sera ensuite la fin du parcours jusqu'aux portes d'Aubusson où 3 mobil homes nous attendent dans un camping. Nous avons déjà parcouru plus de 400km. Installation, puis nous reprenons les voitures pour un (et non une) fondu creusois, frites nappées de fromage local ou de camembert fondu, accompagné de jambon de pays et de salade. Nous sommes dimanche soir mais "le chant du monde", nom de notre restaurant baptisé d'après la tapisserie de Jean Lurçat, plus grand ensemble contemporain de tapisseries (80 mètres de long sur 4,40 m de haut) est plein. Retour au camping pour un peu de repos.

        Lundi: Nous sommes réveillés par la fraîcheur dans les mobil homes: il fait 6°C à l'extérieur, mais il fait beau. Au programme ce matin, visite du village du Moutier d'Ahun, classé 10ème à l'émission de France 2  "Le Village Préféré des Français'': pont roman dit romain sur la Creuse, abbaye (malheureusement fermée le matin), pressoir à huile, mais surtout garage Féret... M Féret est un passionné de voitures Citroën, notamment de 2CV dont il possède une incroyable collection dans des états divers et variés. Il participe à l'organisation d'une rencontre annuelle de 2CV à Ahun que nous ratons d'une semaine (début juillet) et de diverses manifestations au cours desquelles il utilise des véhicules modifiés dont une spectaculaire 2CV-avion dotée d'ailes démontables et d'une hélice! L'escale durera bien sûr un long, très long moment; mais il faut repartir au grand soulagement des épouses, vers la pierre du marteau, borne leugaire (elle indiquait les lieues) romaine puis le village sculpté de Masgot: village unique transformé au XIXème siècle par un paysan-tailleur de pierre, François Michaud qui a sculpté dans le granit toutes sortes d'animaux, de personnages, et le fruit de ses propres rêves... La visite sera suivie du pique nique à Nizerolles, hameau creusois, chez François et Agnès amis "de plus de 30 ans" d'Anne et Jean Michel.
           L'après midi est consacrée à la visite d'Aubusson, pont de la Terrade, rue Vieille, Chapître  et plus particulièrement de la Cité internationale de la tapisserie. La jeune guide qui nous accompagne nous offrira une visite particulièrement détaillée et intéressante sur les origines, les époques et les savoir-faire nécessaires à la production de tapisseries d’Aubusson qui naissent de la collaboration et des échanges entre le créateur, auteur d’une intention artistique, et le lissier, détenteur du savoir-faire. Haute et basse lisse, chaîne et trame, carton, nous savons désormais -presque- tout sur la tapisserie. Ravitaillement en ville pour le repas du soir qui sera de nouveau partagé chez François et Agnès: pâté de pommes de terre, succulente tourte garnie de pommes de terre en lamelles nappées de ... crème fraîche. Ce plat léger comme on peut s'en douter sera suivi d'un gâteau creusois, autre spécialité locale à la noisette. Un grand merci aux amis creusois de Jean Michel pour leur accueil.
Mardi: Le programme prévu conduit aujourd'hui le groupe vers le lac de Vassivière et le plateau de Millevaches. Départ effectif de Vallière où est emprunté le 1er chemin. Très vite cela se corse un peu: la végétation a beaucoup poussé depuis le reconnaissance du parcours (il y a déjà 4 étés il est vrai!) et nos 2CV doivent jouer des ailes et des rétroviseurs pour se frayer leur chemin... mais ça passe. Plus loin en sous bois un sapin semble nous barrer la route. Un écart landais permet de passer aussi... Suivra un arrêt devant le Moulin de Canques, propriété creusoise de l'ancien pilote de F1 Jacques Lafitte au bord de son étang. Vassivère est proche; encore quelques chemins parfois bien caillouteux... Au bord du lac est prévue une petite randonnée pédestre sur le Puy de la Croix. Nous ne trouverons jamais le sentier menant au sommet, facétie de la fée des lieux dont nous apprenons la légende. Belle vue sur le lac cependant. Pique nique à l'ombre sur la rive. Balade ensuite sur l'île de Vassivière accessible par un pont piéton: sculptures et vue sur le lac du haut du phare. La balade se poursuit... piste de la "tombe des officiers", tués par la foudre et non la guerre. Le champ d'éoliennes ne se laisse pas gagner si facilement: le chemin qui y mène secoue fortement voitures et passagers... A Gentioux on ne peut manquer de faire halte devant le monument aux morts qui fait figurer un enfant le poing tendu vers l'inscription « Maudite soit la guerre », symbolisant la douleur et la révolte après la perte d'un père, frère, oncle, cousin, parfois les quatre lors de la première guerre mondiale. Voici enfin la dernière étape de la journée: le joli pont se Senoueix: situé sur le Thaurion, dans un environnement naturel, il est très apprécié des pêcheurs et des randonneurs et des peintres.
Après l'apéritif, le repas du soir sera partagé au restaurant du camping: L'incroyable et désormais célèbre "entrecôte bleue-foncé hollandaise" restera dans les mémoires au côté de l'Irish coffee de même origine! Belle soirée fort conviviale cependant!
Mercredi: dès potron-minet on se prépare pour le retour. Celui ci sera effectué en petits groupes selon les destinations finales de chacun.
 
Bilan kilométrique: 1100km environ. Pas de panne.

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GANADERÍA CASANUEVA
26 Mai 2015

Superbe sortie organisée par Frédérique et Francis ce samedi 26 mai à la ganadería Casanueva près de Montsoué. Le cinq voitures participantes dont les deux "anciennes" de Laurent pour qui c'est la première sortie après de gros travaux et de Jean Michel, commencent leur périple sur l'aire de covoiturage de Coumassote. Le temps est incertain mais la bonne humeur est là.
D'entrée la barre est haute puisqu'il s'agit d'escalader la côte du Castéra... Mais les deux "grand-mères" et leurs petites-filles s'acquittent sans problème de la raide montée... en seconde vitesse s'il vous plaît! Via de petites routes par Haut et Bas Mauco, Péré, Saint Sever et sa côte (!), bosses, descentes et virages nous atteignons sur le coup de 10h15 le bout du chemin de Pirette qui mène à l'entrée de la ganadería, après avoir aperçu de loin les belles arènes du lieu.
Nous sommes gentiment accueillis par M. et Mme José Mats, co-fondateurs de l'élevage avec leur fils Guillaume. La ganadería existe depuis une dizaine d'années et envoie ses novillos avec un succès mérité dans de nombreuses "plazas". Frédérique a invité pour nous Monsieur "PAB" spécialiste de sports et plus particulièrement de tauromachie sur l'antenne de France Bleu Gascogne. Immense chance pour nous. Nous sommes invités à grimper dans la remorque attelée au tracteur qui nous conduira au "campo" au contact du bétail. Assis sur des bottes de paille, nous côtoierons  en toute sécurité le troupeau de mères accompagnées de leurs petits  et du semental. Arrêt. Nous ne pourrons approcher les "toros de lidia" isolés dans un vallon voisin: Ce sont des animaux sauvages qui ne se laissent pas approcher. Même les nouveau-nés, apprendrons nous, ont déjà l'instinct et chargent l'intrus qui ose s'aventurer auprès d'eux. Nous aurons cependant de magnifiques aperçus du troupeau, notamment lorsque ce dernier se postera sur la crête qui nous surplombe, pour nous observer. Pendant ce temps "PAB" et M Bats nous donnent toutes les explications, particulièrement intéressantes sur l'origine des encastes, l'élevage, l'alimentation, la sélection, et les aléas du métier de ganadero. Direction maintenant la belle arène construite de leurs mains par les propriétaires des lieux. Nous imaginons sans peine la motivation et le courage qui les animent. Dans le "ruedo" nous serons initiés sous l'oeil expert de "PAB" au maniement de la cape; nous connaissons désormais l'historique de celle ci en corrida de toros. Nous prendrons ensuite en main la muleta avant de faire face au toro de carton du "carreton". "Peut mieux faire"; il n'est en effet pas facile de manier ces accessoires.
Fin de matinée. Direction la grange aménagée pour l'apéritif. La famille Bats propose en effet des locaux pour des séminaires et autres réunions. C'est à ce moment précis que le ciel nous tombe sur la tête... Le vent s'est levé, les arbres se couchent et une pluie diluvienne s'abat sur les alentours, inondant la campagne... et les 2CV dont la capote est restée ouverte... Fin de l'épisode; nous pouvons reprendre le volant, espérant revenir à Casanueva. Le pique nique est partagé sous un appentis providentiel, tout en continuant à profiter des explications tauromachiques de "PAB"; les noms des plus grands "figuras" sont évoqués, Belmonte, El Cordobes... et Padilla ?
Petit noir pris à Fargues dans un sympathique café de village. Quelques jolis chemins agrémenteront l'après midi afin de finir de tester nos voitures. Ça grimpe parfois; ça descend aussi, mais ça passe!!! Fargues, et son église, Saint Loubouer, ses porches et sa belle église... Retour par les quatre voies.
Belle, belle journée, très instructive. Un grand merci aux organisateurs, à M et Mme Bats pour leur gentillesse et bien sûr à "PAB" pour tout ce qu'il nous a apporté.
 

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Sortie karting-côte landaise
15 Avril 2015

9 voitures (+1 accompagnatrice non 2cv ou dérivé). Belle participation pour cette première sortie 2018 organisée par Patrick et Catherine S. Une partie du groupe partira de Mont de Marsan, l'autrede Tartas; le but à atteindre étant le beau circuit de karting proche de Magescq. Le temps n'est pasau grand beau; quelques gouttes tombent même du côté de Laluque, mais rien de bien inquiétant;l'horizon vire au bleu. Après un café offert par le club à l'accueil du circuit chaque participant enfile sacharlotte et son casque. Départ pout 10 minutes de roulage. La piste est un peu glissante en raisondu pollen mais déjà les chronos tombent... Nos pilotes se prennent au jeu. Quelques travers le tempsde régler freinages et points de corde... mais déjà le damier tombe...trop tôt bien sûr! On enredemande! Nouveau départ, couteau entre les dents pour certains "furieux"! A l'issue de cette2ème session cap sur l'accueil pour les temps officiels: le 1er meilleur temps est pour X mais Y a lameilleure moyenne... Qui a donc la pus haute marche du podium? Chacun y va de sescommentaires... "gêné... volontairement!!! Alors je me suis glissé à l'intérieur et... etc... etc... Onrefait la course! les spectateurs ont aussi apprécié.

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Chemins des Cagots
3 décembre 2017

Cagots, qu'es aco?

Qui étaient les cagots? Pourquoi ce groupe fut il pendant des siècles victime de tant d'ostracisme? Boucs émissaires de la société, accusés de tous les maux, tantôt accusés de  sorcellerie ou d'hypocrisie, on les disait volontiers voleurs, responsables d'épidémies même. Ils subirent donc très longtemps une ségrégation tout aussi incroyable que mystérieuse...

Quelques traces de ces "intouchables" à l'odeur disait on nauséabonde et aux oreilles dépourvues de lobes subsistent dans le Sud Ouest, notamment en Chalosse.

La sortie "chemins" du club ce 3 décembre 2017 se déroulait donc sur la terre des Cagots. Sortie hivernale , même si la date ne l'était pas encore...

Dimanche 8h30, -5°C. Le convoi de 8 voitures prend la route de Saint Sever où Sylvie et Jean Marc (merci à eux) nous attendent pour un café chaud bien agréable accompagné de quelques viennoiseries offertes par le club.

9h30 départ effectif. La colonne comprend alors 10 véhicules.
Les flaques d'eau sur les premiers chemins sont gelées. Quelque glissade est même observée... Un peu plus loin, un groupe de biches nous  regarde passer. Arrêt photo; La campagne est magnifique sous le froid soleil; carte de Noël.
A Aulès, commune de Doazit dans le porche de la belle église, des empreintes de cagots dit on; mais la porte est fermée. Nous ne pouvons entrer. Plusieurs Cagots furent enterrés au 17^ème siècle "dans le cymetière hors les meurailles". Là non plus nous ne trouverons rien. Vestiges trop anciens?... ou élimination par mauvaise conscience? Mystère...

Suite du périple; alternent chemins et petites routes. Au Mus, sur la hauteur de Doazit, la preuve est enfin là devant nos yeux du rejet de ces malheureux: La faible hauteur de la petite porte latérale des cagots était destinée à leur faire baisser la tête même dans ce lieu... chrétien! Près de cette dernière, un bénitier spécial leur était réservé: Surtout pas de contact avec le reste de la population...! Près de la porte principale enfin est gravé dans la pierre le signe distinctif de la "caste", la patte de canard (leur étoile à eux) que chaque cagot devait porter à l'épaule...

Continuons... Hagetmau a gardé de cette sombre période deux panneaux explicatifs dans le quartier dit des cagots au carrefour de la route de Monségur; ils retracent leur histoire. Mais là aussi, les vraies preuves comme la fontaine, ont disparu...

Saint Cricq Chalosse, Brassempouy. L'église de ce dernier bourg propose une historique audio sur le sujet. Mais pas de chance l'enregistrement refuse de démarrer... Il est midi trente, et nous avons rendez vous à Momuy pour nous restaurer. Là, le jeune et sympathique couple qui tient le restaurant  Chez Dourthous sert un bon et revigorant repas aux 17 convives. Réussite! Une adresse à conseiller!

15h00  nouveau départ pour le deuxième tronçon. Momuy, Lac d'Agès près d'Hagetmau, Serres-Gaston, Aubagnan, Coudure, Eyres Moncube, chemins et petites routes ramèneront sans encombres tout ce petit monde à Saint Sever. Les carrosseries sont boueuses et le compteur affiche 100km .. Il est environ 17heures. Agréable journée, mais les Cagots, on s'y attendait, ont gardé leur mystère...

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Voyage nationale 2cv 2017

Départ le mardi 23 à 8h pile de chez Dédé, 4 voitures, 4 mecs: Jacques "le gros", Patrick S. , Dédé, Jacques le mécano. Passage par Auch, nord de Toulouse, Mazamet, Béziers où l’on tente de visiter les fameuses écluses fermées pour travaux… pas de chance. Arrivée a Séte à 17h. Couchage chez l’habitant.
 
Mercredi visite de Sète en bateau, baignade du mécano dans une eau à 17°…le soir repas sardines fraiches achetées au sympathique marché de la ville.
 
Jeudi départ 8h pour la nationale a Nîmes; arrivée à 10h; bonne organisation. Rencontre des basques qui tiennent un stand et des gersois. Par contre pas de « Suisse Orangina » tombé en panne sur l’autoroute…. Achat de pièces. Départ pour le Var à 13h en évitant les autoroutes ce qui n’est pas évident pour le navigateur; bravo à Jacques le mécano. Arrivée à Cabasse à 18h, jolie maison dans le Var montagneux. Couchage chez l’habitant.
 
Vendredi départ 8h pour Castellanne; route superbe dans les gorges du Verdon, difficile à apprécier, Jacques le mécano jouant les pilotes de rallye…. Arrivée 15h, visite du musée Citroën, passionnant; le propriétaire a plus de 150 Citroën post-guerre (depuis la traction jusqu’aux youngtimers) dont la moyenne de kilométrage est de 25000,certaines voitures n’ont qu’une centaine de kilomètres; aucune n’a subi de rénovation…Tout deuchiste devrait visiter ce site! Retour sur Cabasse par Draguignan,route moins intéressante. Plus de 10h de conduite ce jour.
 
Samedi départ pour Carcassone à 7h route longue et fastidieuse d’autant qu’il y avait beaucoup de circulation, arrivée à 17h… chez l’habitant; Jacques le mécano rejoint ses amis participant aux « 24h de mobylettes ».
 
Dimanche départ 8h par la nationale, Toulouse, Auch; arrivée chez Dédé; 13h, repas préparé par Jo; encore merci.
 

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SORTIE TERROIR & TRADITIONS

                              "Que plau" Il pleut...Temps maussade donc pour cette deuxième sortie 2017, mais qu'importe, le programme prévu pour la journée prévoit des activités à l'abri des intempéries. Après une demi-heure de conduite sur de petites routes, par Benquet, Saint Maurice, Larrivière et Classun voici le convoi des 10 voitures et 20 passagers arrivé à Saint Loubouer.

Premier point de chute: Les tourtières Lafargue. Accueillis par la famille d'artisans passionnés (il faut l'être pour arriver quotidiennement au travail dès 2 heures du matin afin que la pâte soit prête à 8 heures à l'arrivée du personnel...) désormais à la tête de l'entreprise, nous allons assister à l'élaboration de ce dessert traditionnel du Sud-Ouest, savouré depuis le Moyen-âge. A base de pâte étirée et beurrée, sa préparation est le secret d'un savoir-faire très ancien. Dans la bonne humeur, nous assistons à l'étirement, au pliage, à la mise en moule, au garnissage de tranches de pommes et au badigeonnage de l'ensemble d'un "léger" mélange de beurre fondu et de parfum... sans oublier le sucre! Passionnant! Certains membres du groupe mettront effectivement la main à la pâte - au sens propre, mais nous n'en saurons pas plus sur la recette de cette dernière... Farine spéciale bleue, eau, sel et parfum... rien de plus précis. L'entreprise prépare avec le même amour du travail bien fait des pastis landais et pyrénéens et des gâteaux basques. Une fois la démonstration terminée, commence la dégustation accompagnée de café le tout généreusement offert. L'essayer, c'est l'adopter. Un grand et sincère merci pour cette visite et cet accueil. Quelques emplettes gourmandes et le groupe reprend la route pour la deuxième étape.

Geaune, Pimbo... Voici Arzacq-Arraziguet et sa Maison du jambon de Bayonne. Ici, la visite durera environ 1h30: Le cochon... Nous nous lançons donc à la poursuite  de l'animal qui nous offre ce produit de légende qu'est le jambon. Par le biais de projections vidéo il est vrai un peu impersonnelles, agrémentées de commentaires, il nous dévoile ses petits secrets à travers un parcours pédagogique, illustré d'histoires amusantes, de belles vues sur son territoire et de chants basques ou pyrénéens. Devant une maquette animée nous  comprenons en grandeur nature le phénomène de foehn qui joue un rôle dans l'élaboration réussie du produit; ce vent du sud se lève même pour nous lors d'une simulation. Après un passage devant le séchoir une dégustation de jambon et de vin blanc est proposée en fin de visite pour réveiller nos papilles à l'heure de l'apéritif. Emplettes gourmandes là encore!

C'est maintenant l'heure du déjeuner. Nous allons goûter à la fameuse garbure du célèbre Gaby, le roi de la spécialité, dit-on ; une institution donc. Jambon de Bayonne encore, salade de gésiers, faux filet et autres confits de canard rassasieront les estomacs affamés... Garderons nous un souvenir impérissable du repas?

15 heures. Reprenons le volant. Nous avons rendez-vous à Arboucave pour une séance de quilles de 9. Le champion de France (et sans doute du monde puisque le jeu n'est sans doute pas très pratiqué au nord de l'Adour) en titre de la spécialité régionale, lui même possesseur d'une belle 2CV nous dévoile tout de la technique du jeu... Cela paraît facile... mais une fois sur le quillier la boule de plus de 6kg en main il n'est pas si aisé de renverser les quilles dans l'ordre bien précis prédéfini. Certains membres du club sont plus adroits que d'autres... mais qu'importe! l'important n'est il pas de participer?... Merci en tout cas à vous, membres de l'association de quilles de 9 d'Arboucave pour ce moment bien sympathique!

Le retour s'effectue sans problème par Samadet, Coudures et Saint-Sever.
Adishatz!
 

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VISITE DE LA RESERVE D'ARJUZANX

LE COUCHER DES GRUES

3 février 2017
 

                 Avis de tempête; vigilance orange sur le département des Landes. La première sortie 2017 du 2CV club montois ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices... D'ailleurs la jeune guide naturaliste de la réserve d'Arjuzanx nous prévient dès notre arrivée: la visite pourrait ne pas aller à son terme; dans ce cas, nous récupérerions nos billets et les utiliserions... l'année prochaine! Croisons les doigts...Le temps semble s'améliorer timidement et le ciel s'est un peu dégagé après l'orage de grêle de la matinée mais le vent souffle  encore en bourrasques...

Prêts? partez... Nous grimpons à bord des trois véhicules de la réserve, dont deux sont pilotés par Frédérique et Jean-Bernard. Direction: la tour d'observation que nous atteindrons au bout de quelques kilomètres de pistes. Vertige ou pas vertige? A 15 mètres du sol la vue est magnifique; le paysage a un petit air de taïga... lacs, lande et tourbières. Mais pas une grue à l'horizon. Il est environ 17 heures. Notre guide nous explique tout sur le bel oiseau que nous sommes venus observer: aspect, taille et envergure, mode de vie, déplacements. Carte à l'appui nous découvrons les couloirs de migration des volatiles qui sont suivis grâce à leurs bagues et par de modernes GPS ou même des balises Argos de l'Europe du Nord où ils remonteront au printemps, jusqu'au Sud de la péninsule ibérique. Deux grandes zones d'hivernage  sont répertoriées: La lagune de Gallocanta en Aragon entre Zaragoza et Teruel, et Arjuzanx.

Forts de ces renseignements nous poursuivons notre attente. Grâce aux jumelles  prêtées par la réserve nous apercevons au lointain trois oiseaux au sol. Maigre safari! Mais soudain les "guetteurs" s'agitent: Un vol, là bas à l'horizon! "Où? Là bas... je ne le vois pas!... Si!... au dessus de la cime des arbres!... Ah oui!"

A présent c'est l'excitation générale: Ce n'est pas un vol que nous apercevons mais 3, 5, 10, 50 peut être... Chacun est composé de dizaines, de centaines d'oiseaux . Incroyable! La vue est magique! Portés par les courants, sans effort, les oiseaux planent, s'approchent du sol puis se posent. Certains frôlent le toit de la tour au point que nous pourrions presque les toucher. Grâce aux explications que nous avons reçues nous savons que les grues atterrissent, glanent quelque nourriture, font leur toilette, puis lorsque l'obscurité est vraiment tombée s'installent les pattes dans l'eau peu profonde des étangs où ils passent la nuit à l'abri des prédateurs. Le lendemain, sous les yeux émerveillés d'autres observateurs matinaux ils reprendront leur essor vers les champs de maïs alentour où ils se nourriront avant de revenir le soir venu ... Chaque oiseau a besoin d'environ 300 grammes de grain par jour. Cette saison, les guides d'Arjuzanx ont dénombré quelque 30.000 volatiles... Faisons le compte...
 
Ce cycle dure de Novembre à mi-février. Nous avons donc eu la chance de participer à l'une des dernières soirées d'observation de l'année.

Le froid est tombé en même temps que la nuit. Nous terminons notre visite. Laurent, notre G.O du jour nous a concocté un excellent et revigorant vin chaud... Il est le bienvenu. Merci Laurent.

Tous les adhérents du club n'ont pu profiter, faute de place, de cette belle opération. Ce n'est que partie remise. Dès Novembre prochain nous reprendrons contact avec la réserve pour organiser une nouvelle visite, matinale cette fois.
 

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LES 10 ANS DU CLUB

Ceci n'est pas à proprement parler une sortie mais un moment tout particulier pour notre club...

Les membres  disponibles se retrouvent en effet au Grand Leuy  pour cette journée très spéciale des 10 ans de notre club.
Les voitures sont garées en deux lignes face à face avec leurs propriétaires pour la photo souvenir prise par Patrick du toit du garage. Bilan... 3 tuiles cassées mais un joli cliché.
La brève réunion mensuelle permet ensuite à Jacques de rappeler le tout début du club. 2CV brûlée récupérée à Nouvielle, remise en état puis offerte à Marie Laure qui sera la première secrétaire du club. Premier président, premier trésorier et premier membre en la personne du même Jacques... On connaît mieux la suite.
Une petite épreuve suit, cette fois pour les dames. Nous les voyons rarement au volant pour la plupart. Aujourd'hui elles sont à l'oeuvre: Le gymkana déroule ses chicanes jusqu'au fond du Grand Leuy, dans l'habituel parc à moutons. Toutes s'appliquent. Les langues sont de sortie... ne pas toucher les arbres... mais aucune bosse n'est à signaler. Les hommes prennent ensuite le volant; les chronos tombent mais nous retenons notre souffle lors de certains passages...ça passe ou ça casse... finalement pas de tôle froissée... par les as du volant!
Sur le coup de midi suit  la séquence apéritif-repas sur l'Isle Marie Laure baignée par l'Estrigon. Champagne et Punch sont suivis des entrées multiples portées par chacun. Christian s'affaire derrière sa plancha pour cuire les côtes de porc préalablement attendries sous une belle couche de beurre et persil. Un régal que chacun appréciera. Merci Christian! Et que dire des desserts? Mention spéciale pour Danièle qui nous a préparé une pièce montée!
Farniente ensuite au bord de l'eau. Chacun regagnera ses pénates en fin d'après midi après une journée bien sympathique et conviviale.
 

Rendez vous donc dans ... 10 ans!

 

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Fêtes de Geloux

Samedi 4 juin vers 9 heures alors que les pêcheurs disputent déjà leur concours, 10 voitures du club viennent s'aligner le long de l'étang à l'invitation de Laurent C pour un petit rassemblement dans le cadre des fêtes de Geloux. Tranquille matinée au soleil, café et visite de la jolie église classée Saint Médard datant du XI^ème siècle. Plaisir de retrouvailles en cours de matinée avec un autre Laurent, ancien président du club, venu lui aussi en voisin. Vers midi tout le monde se retrouve autour de l'apéritif offert par le comité des fêtes et du sympathique repas dans la belle salle communale. En début d'après midi, en guise de digestif, les plus audacieux, Jacques et Frédérique pourront s'essayer au Bubble Bump (voir photos sur le site du club) sur le stade municipal. Fou rire assuré! Merci au comité des fêtes de Geloux pour cet agréable moment.

 

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Visite de la BA 118
 Jeudi 2 Juin

 Il est 19h45; 23 membres du club et leurs voitures attendent devant les grilles de la base aérienne. Chacun est équipé d'une chasuble orange-fluo et d'un laisser passer; 20heures: La barrière se lève; l'entrée peut désormais s'effectuer. En convoi les 13 voitures suivent sagement celle de Frédéric, organisateur de la soirée. Direction l'escadron-chasse.
Là, sur le tarmac trône fièrement un Rafale. Les voitures en formation viennent l'encadrer, 5 d'un côté, 8 de l'autre. L'avion impressionne. Même si l'on est montois, ce n'est pas tous les jours que l'on approche de si près une telle machine... Photos impératives. Les déclencheurs s'affolent... Un photographe officiel a aussi été convoqué pour immortaliser notre visite.
Le pilote en combinaison de vol s'approche. Il sera notre guide ce soir: Caractéristiques de l'avion, performances, autonomie, ravitaillement en vol... nous saurons presque tout - le reste est du domaine du secret-défense- du bel engin. Dans le hangar proche qui abrite quelques autres appareils en maintenance, une passerelle a été dressée afin de nous permettre d'apercevoir le poste de pilotage. Par petits groupes nous nous approchons. Le Rafale est équipé d'une technologie de pointe; plus de "manche à balai"... deux joysticks permettent de le contrôler. Le poste de pilotage est exigü; on imagine ce que doit être une mission lointaine concentré sur les instruments de bord, sanglé dans le siège éjectable le tout à vitesse supersonique... Toutes nos questions trouveront réponse. Mais déjà il est l'heure de passer à la phase suivante: le décollage. Deux Rafale sont en effet prêts à quitter leurs abris. Lentement ils se dirigent vers nous dans un bruit assourdissant malgré les bouchons d'oreilles que nous avons reçus à l'entrée, puis s'engagent sur la piste. Quelques instants plus tard ils décollent sous nos yeux cap à l'ouest vers le soleil couchant laissant derrière eux la traînée de la post-combustion. Impressionnant!
Il est difficile de quitter le tarmac mais le responsable du musée nous attend. Devant le bâtiment nous pouvons d'abord approcher quelques avions de générations plus anciennes: Super Etendard, Jaguar, Mirage...
A l'intérieur, nous sommes "briefés" sur l'histoire de l'aviation militaire depuis ses débuts au cours de la 1^ère guerre mondiale. 2ème guerre mondiale... Normandie-Niemen... D'autres noms célèbres sont évoqués: Guynemer, Rolland Garros... L'aviation eut aussi ses héroïnes, non moins célèbres: Jacqueline Auriol ou Hélène Boucher. Divers matériels sont exposés comme ... une bombe atomique, réplique de celle embarquée par les avions français. Avec passion et en détail, le responsable des lieux nous fera revivre cette fantastique épopée.
Il est déjà 23 heures. La visite touche à sa fin. Dernière surprise, Frédéric a fait tirer sur papier deux photos grand format pour chacun des visiteurs. Nous pourrons ainsi garder un bon souvenir de cette extraordinaire soirée. Un immense merci à tous les intervenants.
 

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AVEYRON et "NATIONALE 2CV"

5 au 8 Mai 2016

 
           La rencontre nationale des 2cv clubs de France a lieu tous les ans dans une région différente. Elle se déroulait cette année dans l'Aveyron, et plus précisément à Séverac le Château, à une trentaine de kilomètres au Nord de Millau. Plusieurs membres du club s'y sont rendus, profitant du déplacement pour visiter la région.

           Organisée par Alain "H", la sortie a été très réussie: beau temps, beaux paysages et bonne ambiance ont été au rendez-vous.

           JOUR 1: Tôt Jeudi matin 5 mai, huit équipages sont au premier rendez vous. Quittée Mont de Marsan, le premier arrêt a lieu à Perquie, où deux véhicules et quatre membres du club supplémentaires rejoignent le peloton. Cap à l'Est: Après un arrêt-viennoiseries à Condom où se prépare activement la fête des bandas, le groupe traverse Saint Clar... Voici maintenant la Lomagne, pays de l'aïl . Le GPS d'Alain nous propose quelques toutes petites routes et de raides montées... Ce sera un entraînement pour la suite comme nous le verrons. Le paysage est bucolique avec ses champs de colza jaunes sur les croupes gersoises; on aperçoit aussi les Pyrénées à l'horizon. Alain a prévu l'arrêt pique-nique à Grisolles sur les berges du Tarn. Nous poursuivons ensuite la route par Montauban et Villefranche de Rouergue. Encore un bout de route et de nombreux virages. Nous arrivons au camping-centre équestre de  La Frégière, proche de Clairvaux d'Aveyron où les participants prennent possession des bungalows réservés à l'avance. Jacques, lui a droit à une roulotte. Promenade jusqu'au joli village de Panat qui surplombe le camping. Dîner sur place... ou plutôt festin: apéritif offert, terrine à volonté, salade composée, énorme pièce de viande cuite à la broche sous nos yeux accompagnée de gratin de pommes de terre, fromage, dessert et vin et digestif... La nuit ne sera pas de trop pour digérer...
           
      JOUR 2 vendredi 6 Mai: Journée "libre": Certains choisissent Conques puis la visite du musée Soulages à Rodez qui présente des oeuvres contemporaines avant de rejoindre le site de la "Nationale". D'autres préfèrent passer la journée au milieu des plus de 2500 2CV de la rencontre. Tous les distributeurs de pièces détachées de 2CV sont présents. Il ya quelques dérivés surprenants. Quelques connaissances sont aussi présentes. Les derniers passeront la matinée à la "Nationale" puis effectueront un petit périple touristique de 70 kilomètres sur le Causse de Sauveterre par le joli village de  La Canourgue, le Sabot de Malepeyre, impressionnant bloc de rocher percé, l'incontournable Point Sublime qui surplombe les gorges du Tarn et le très typique village caussenard de Soulages (comme le musée ruthénois) avant de rejoindre le reste du groupe à Séverac. Sortir du village à 17 heures est compliqué car des centaines de 2CV quittent aussi les lieux... Un petit tronçon d'autoroute... et revoici les petites routes tortueuses le long des gorges de la Jonte. Nous arrivons à Vessac, pittoresque hameau en fin d'après midi. Nous sommes désormais sur le Causse Noir. Nous y sommes chaleureusement reçus par Patrice et Annie beau-frère et belle soeur de Jacques et leur beau frère. Tirage des chambres à la courte paille... Chaque couple prend possession de son domaine pour deux nuits. Alain "H" et Christian-Danièle ont eux, garé leur véhicule-dodo à proximité. Restaurant et bonne nuit de repos. Le vent particulièrement violent nous a en effet saoulés toute le journée.

         JOUR 3 Samedi 7 Mai: Programme plus léger aujourd'hui (un peu de "roue-libre" fera du bien!): La matinée est occupée par une  belle balade à pied au dessus des gorges de la Dourbie:  Au bout d'une belle piste partiellement interdite à la circulation, Roquesaltes est un site magnifique surplombé d' impressionnants blocs rocheux ruiniformes au dessus de l'abîme des gorges. On y voit aussi un corps de ferme à couverture de lauzes, à l'architecture typique du Causse Noir. De là on aperçoit même le viaduc de Millau au lointain. Pique nique sur place. De retour à Vessac, la partie de pétanque sera particulièrement disputée. En fin d'après midi Patrice a prévu la visite du Grand Garage Malafosse à Meyrueis: L'enseigne date du tout début du XX^ème siècle et a été fondée par le grand père de l'actuel propriétaire. Le garage, fermé depuis quelques années a été remplacé par une moderne concession Citroën. "Dans son jus" il recèle cependant de vrais trésors: Citroën Type A, Traction 15/6, 2CV AZL ou DS...comme on peut le voir sur les photos. L'outillage et la documentation d'époque ont aussi été conservés . Il servit à plusieurs reprises dans les année 1929-30 de camp de base aux équipages préparant la célèbre Croisière Jaune ou Mission Centre-Asie. Le Causse avait en effet quelques similitudes avec les reliefs prévus dans les régions traversées par le raid motorisé. Le propriétaire du garage connait tout de  la genèse et du déroulement de l'expédition. Captivant! Il connait tout aussi bien tous les modèles "historiques" Citroën, de la modeste 2CV à la prestieuse SM en passant par la DS. Tout aussi passionné, Jean-Bernard échangera longuement avec lui... Il faut à regret quitter ce sanctuaire. Dîner prévu à "Les Douze" en bordure de la Jonte. Encore des virages... Sympathique repas au restaurant à l'issue duquel certains, choisis au hasard par le patron des lieux devront souffler dans l'alcotest avant de reprendre le volant. Raisonnables sur la boisson ils s'en tireront... "blanchis". Pas de photos, c'est bien dommage! Encore un petit effort... La remontée  de nuit des plus de 400mètres de dénivelée en quelques kilomètres et de nombreuses épingles serrées sera particulièrement corsée. Et dire que certains s'attaquent à la côte à la force du mollet! Belle et bonne nuit.
                        
         JOUR 4 Dimanche 8 Mai: Lazare et Dédé sont partis au lever du jour pour être à MDM en fin de matinée. Le reste du groupe, sauf Christian et Danièle qui poursuivent leur route, démarre vers 8 heures. Retour sans problème par Millau où un arrêt permet de se rendre compte de l'exploit technique que constitue le viaduc. Arrêt à Albi, puis pique nique et fin de parcours avec ce même vent qui décidément n'a pas voulu nous lâcher du week end.
Les  véhicules affichent 1000 kilomètres de plus qu'au départ.
 

Tout s'est parfaitement passé.
Merci à Alain pour l'organisation,
Merci  à Patrice, Annie et leur beau frère
pour leur chaleureux accueil.

 

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Chemin de Saint Jacques de Compostelle-Etape 1

10 Avril 2016
 

Dimanche matin 8h45; 7 voitures sont au rendez-vous à Bougue, devant la borne "Saint Jacques 970km". 2 voitures supplémentaires rejoindront le groupe sur le chemin, à Aire sur l'Adour. Le chemin, justement... c'est celui de Saint Jacques de Compostelle, ou plus précisément, afin de ne pas trop gêner les pèlerins-marcheurs, des chemins parallèles à celui de Saint Jacques. Nous irons pour cette 1^ère étape de Bougue à Argagnon, près d'Orthez.
Les premiers chemins aux jolis noms - chemin du Sage... sont avalés sans encombres. Certes il y a quelques flaques d'eau et un peu de boue après la pluie de la veille, mais rien pour intimider nos voitures. Passée Cazères sur l'Adour, le chemin longe l'autoroute; c'est vrai, c'est moins poétique... Après la pause café-viennoiseries offerts par le club voici sur notre chemin les vrais pèlerins en route pour la Galice. Ils ont encore plus de 900km devant eux! Nous sommes obligés, parfois de cohabiter -nous roulons alors au pas; eux, ne semblent pas gênés par notre présence et tirent à la hâte leurs appareils photos des sacs pour emporter un souvenir de nos "amusantes voitures". Dans 30 à 40 jours nous serons donc à Saint Jacques... par procuration. Chemin de Pérou, de La Lande ou Du Moulin... Miramont-Sensacq ... notre caravane multicolore  s'étire au soleil. Nouvel arrêt près de la borne "Saint Jacques de Compostelle 953 km". Par quel mystère* n'y a t'il que 17km de Bougue à cette borne par les chemins quand à vol d'oiseau 36km séparent ces deux point??? L'auteur/concepteur de la borne, belle rencontre, nous donne une explication... mais ce n'est pas la bonne. Le mystère demeure... Nous bavardons un moment; fort sympathiquement lui et son épouse sont prêts à nous offrir l'apéritif! Mais il n'est que 10h30 et de plus notre chemin est encore long; à regret nous déclinons l'invitation; mais encore une fois nos 2CV auront ouvert une porte. La chapelle de Sensacq sera notre prochaine étape. Nous verrons plusieurs de ces attachantes lieux de culte sur le parcours. Pimbo, étape importante sur la via Podiensis,  possède elle, une vaste collégiale.

Il est déjà 12h30. Le pique nique est tiré des coffres  près d'une exploitation agricole aux abords de laquelle une aire a été aménagée; elle sera dans quelques années ombragée grâce aux arbres plantés là pour permettre aux "jacquets" de passage de se restaurer ou se reposer agréablement. Nos 2CV feront une fois de plus sensation: l'agricultrice, notre voisine d'un moment s'empressera de prendre des photos qu'elle transmettra au maire du village pour lui montrer le bienfondé de l'aire réclamée de longue date. Ses deux petites filles reviendront quelques instants plus tard avec dans leurs bras deux adorables biquettes qui feront la joie de la petite fille de Jean Bernard et Concepción. Les trois fillettes feront ensuite un petit tour dans la 2CV décapotée de Jacques. Trop cool!!!

14heures. Quelques centaines de mètre plus loin c'est l'Oustaou qui nous dévoile sa belle fontaine supportant deux énormes coquilles Saint Jacques. Le propriétaire des lieux, haut en couleur nous invitera à pénétrer dans sa demeure pour découvrir le coin "culturel" secret qu'abritent... ses toilettes. Il nous fera aussi l'historique de sa maison. A Arzacq-Arraziguet c'est près d'un pittoresque lavoir en fer à cheval du 19^ème siècle que nous ferons halte avant de rejoindre l'arbre du pélerin sur le Chemin des étoiles. A Beyrie, la chapelle possède des galeries latérales en étage, comme au Pays Basque. Si ce dernier se rapproche, nous sommes encore en terre Béarnaise. Peu après Mazerolles, nous devons franchir un gué. Il a plu abondamment; le niveau de l'eau a quelque peu monté et surtout la pente de sortie est bien grasse... Personne ne restera "planté" au milieu de l'eau mais pour certains la remontée fut un peu... disons... hoquetante... il fallait quand même un peu de piment sur le chemin! (vous voulez des noms? un indice pour les voitures concernées: l'une s'appelle Touyaquelquechose et l'autre arbore  une fleur sur sa carrosserie). Castillon, Boumourt...nous avançons de nouveau régulièrement. Nous gagnons les côteaux et suivrons désormais la ligne de crête. Nous surplombons un peu plus loin le circuit de Pau-Arnos sur lequel des motos tournent à très vive allure. Voici la chapelle de Caubin et son gisant de pierre, puis Arthez  de Béarn et son minuscule "compostellou" d'argile perché sur un mur. Il regarde passer ses confrères. Le clocher d'Argagnon se profile bientôt en bas de l'ultime descente. Fin de l'étape.

Le retour s'effectuera par la route "normale" Orthez-Mont de Marsan avec une variante Hagetmau-Bernède pour Catherine et Patrick. Arrivée vers 19heures.
 
Aller 130km dont 40% de pistes; 1 gué des trous des flaques et des bosses (de terrain!)...
Retour 60km par la route
Voitures crottées; 0 panne.
Beau temps, tour à tour frais, chaud, venteux.
Belles rencontres et sympathique convivialité. Les absents ont eu...
Rendez-vous à Argagnon au départ de la 2^ème étape.
 
* -Bougue est une étape sur la voie du Vézelay ou Via Lemovicensis;
   -La borne "953km" proche de Miramont-Sensacq est, elle, sur la voie du Puy en Velay ou Via Podiensis.
N'étant pas sur la même voie, les deux distances ne peuvent être comparées...
 
La coquille: Au début de leurs grandes migrations, les pèlerins se contentèrent de ramasser quelques coquillages qu'ils trouvaient sur les plages Galiciennes et qu'ils ramenaient chez eux comme souvenir. Car depuis l'Antiquité on portait des coquillages pour se préserver de la sorcellerie, du mauvais sort et de toutes sortes de maladies. L'iconographie chrétienne de la coquille n'apparaît que bien plus tard, avec le culte voué à Saint Jacques en ce début du Moyen Âge. Sans doute pour des raisons symboliques, la coquille s'est imposée comme attribut de l'apôtre et a donc pris le nom de Saint Jacques. Petit à petit, cousue sur le chapeau, sur le sac ou sur le manteau elle va devenir l'emblème, non seulement des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, mais progressivement de tous les pèlerins. En plus de son pouvoir protecteur, elle permettait de se distinguer des autres voyageurs, de boire dans les fontaines ou de demander l'aumône car à la vue de la coquille, la charité devient devoir. C'est ainsi que depuis, les pèlerins placent leur voyage sous le signe de ce symbole.
                                                                                              source: pelerins-compostelle.com
 

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CHÂTEAU DE CAZENEUVE

13 Mars 2016
 

         Organisée par Catherine, cette première sortie de la saison a été un succès: C'est donc par un beau dimanche frais mais relativement ensoleillé et après un sympathique petit déjeuner  offert par  notre généreux Lazare que les six équipages ont découvert ébahis ce magnifique et atypique château d'Henri IV.  Les photos faites par Martine figurent dans la rubrique "photos" du site et vous donneront envie de le découvrir aussi. Après le kir royal offert par le club les le pique-nique fut  tiré des coffres face au château puis ayant un peu de temps devant nous, c'est vers le château de Roquetaillade tout proche que le convoi se dirigea pour découvrir cette imposant place forte que nous pourrons visiter un de ces jours pour ceux qui ne le connaissent pas encore. L'ambiance fut très sympathique et le déjeuner en musique grâce a l'ipod de Frédérique et sa 2CV, branché!

                                              A très bientôt pour d'autres sorties

 

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UN ENFANT PEUT SAUVER UN ARBRE
BISCARROSSE 15 OCTOBRE 2015
 

          En conclusion de la traversée des Landes par les pistes, effectuée au mois d'Avril, le 2CV club montois était convié par Madame Mathieu, alias Mamy Chaussette, présidente de l'association "un enfant peut sauver un arbre" à participer à une grande journée de plantation: 10.000 jeunes pousses de pins des Landes devaient en effet être mises en terre par les enfants des écoles, mais chacun pouvait, muni d'un semoir, participer à l'opération. Des spécialistes étaient sur le terrain, prêts à donner les explications nécessaires à l'utilisation de l'appareil.
Ainsi, trois véhicules du club prirent-ils la route de Biscarrosse sous un beau soleil annonciateur d'une jolie journée automnale. Jany, notre amie  Biscarrossaise nous attendait chez elle pour une sympathique pause café avant que nous nous dirigions vers la lande de Bestralas, sur la route de Sanguinet. Malheureusement le temps se gâtait rapidement et c'est sous la pluie que débutait le chantier. A notre arrivée les enfants étaient déjà à l'oeuvre, encadrés par des spécialistes de la forêt. Les sept membres présents se mirent à leur tour à l'oeuvre, chargés de planter une caisse de tendres pousses. Il fallait avoir la main verte et je jarret solide...
En fin de matinée, eurent lieu les discours officiels par Mme Mathieu, M le Maire de Biscarrosse, devant les responsables des pompiers et de la gendarmerie, bénévoles et personnes présentes. Notre club fut mis à l'honneur par l'intermédiaire de son président: Mamy Chaussette remercia publiquement le 2CV club montois pour le don versé à son association. Un sympathique cocktail clôturait la matinée.
Les trois voitures ayant effectué le déplacement et leurs occupants reprirent la route en début d'après midi après avoir partagé un sympathique déjeuner dans le centre de Biscarrosse.

 

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SOURCES ET FONTAINES GUERISSEUSES DES LANDES
DIMANCHE 20 SEPTEMBRE 2015
 

Une météo des meilleures en ce dimanche 20 septembre, 10 équipages et leurs montures se sont retrouvés au rendez-vous fixé par les organisateurs, Jean-Pierre et Christian. Une enveloppe est distribuée à chaque équipage et Christian propose de bien regarder à l’intérieur, car il y a une anomalie…
09h00-09h30, sur le parking de la station essence du Leclerc, Alain nous apporte les viennoiseries que nous prendrons un peu plus tard.
 
Les voitures et les équipages sont prêts, nous prenons la route de St Martin d’Oney.
Jean-Pierre ouvre le convoi  et Christian le termine pour être sûr de ne perdre personne !
 
Nous admirons le magnifique château d’eau sur lequel une artiste a peint une palombière
et son vol de palombes, de toute beauté. Bravo l’artiste.
Puis nous partons pour la fontaine Sainte Quitterie, récemment restaurée.
 
Par une belle piste, nous allons voir deux sources près d’Ousse-Suzan : La source
Saint Jean-Baptiste, en forme de caveau qui permet les ablutions de tout le corps sans être vu. Son eau soulagerait les maladies de la peau (eczéma, plaies variqueuses…)
et la source Saint-Girons, où l’on peut s’étonner de la présence de
linges ou chiffons posés sur la barrière. Ils ont servi à frotter les parties
malades du corps et symbolisent le mal qui doit rester sur place. Nous
visitons l’église et en profitons pour faire une belle photo de groupe avec
nos belles voitures.
 
Source suivante sur la commune d‘Ygos Saint Saturnin : source Saint-Cla, composée de trois sources distinctes ayant chacune des vertus curatives spécifiques, où les croyants venaient en procession soigner leurs maux.
 
A  Arengosse la Source de l’Agneau Pascal, réputée véritable cure de jouvence, selon la légende, cette eau donnait force et vigueur et à quelques mètres, la Source de l’eau rouge, en forte teneur en fer, de couleur rouille ou rougeâtre.
 
Belle balade pour cette matinée, il est 13 heures et nous allons déjeuner à Arjuzanx, site naturel accueillant. Après avoir pris notre repas à l’ombre des arbres et dans la bonne humeur, nous visitons ce lieu magnifique avec son superbe plan d’eau et passons à la Maison du Site, exposition sur l’histoire du patrimoine d’Arjuzanx. C’est un lieu splendide qui donne envie d’y revenir…
 
Il est 15 heures quand nous décidons de repartir découvrir d’autres sources.  
A Garosse, Source Notre Dame des Sept Douleurs. Cette source est dédiée
au martyre qu’endura la Vierge en temps que rédemptrice. Son eau a une odeur
très sulfureuse et est réputée guérir surtout les rhumatismes et les dérangements
intestinaux.      
 
Nous poursuivons notre chemin en direction de Sindères, en contrebas de la route, où une source est dédiée à Marie-Madeleine. Elle est encore surmontée d’un tronc à offrandes. Pour guérir, peut-être faut-il offrir une obole ? …
 
Pour terminer, nous arrivons à Lesperon par un joli chemin forestier où nous trouvons la Fontaine Saint-Jean. Située sur l’un des 4 grands axes pour aller à Saint Jacques de Compostelle, Lesperon est devenue une halte salutaire pour les pèlerins.
 
Nous en profitons pour visiter l’église qui mérite d’être vue.
 
Voilà que notre promenade au travers des sources et fontaines du Pays
Morcenais arrive à sa fin.
 
Tous les participants sont enchantés de cette belle découverte.
Les organisateurs proposent que nous nous rendions à  la base de loisirs
Du Marsan où sera offert aux participants le verre de l’amitié.
 
La surprise du début de journée et l’anomalie à trouver : un auto collant rajouté sur la documentation distribuée par Christian le matin. Chacun le trouve et reçoit un cadeau (un lot de pièce de 2cv, restes du rallye des secrétaires offerts par Méhari-Club de Cassis).
 
C’est dans cette bonne ambiance que s’achève cette magnifique journée.
Un très grand Merci aux organisateurs, Jean-Pierre et Christian. BRAVO A VOUS.
 
 

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RALLYE DES SECRETAIRES
28 Juin 2015
 

Projeté de longue date et magistralement organisé par nos secrétaires Martine et Sylvie, attendu par les membres du club, le rallye des secrétaires s'est déroulé le 28 juin dans la bonne humeur, sous un soleil radieux et une belle chaleur.
            Arrivés chez Sylvie et Jean-Marc, les participants se voyaient proposer café et viennoiseries tandis que se prenaient inscriptions et photos officielles sous la bannière du Méhari Club Cassis. Chacun recevait un sac de bienvenue garni notamment d'une carte routière des environs, de la plaque rallye à apposer à la voiture et d'un cadeau surprise.
9 voitures se présentaient donc au départ; chaque équipage devait s'être muni de quelques outils destinés pour certains à une utilisation mystérieuse... mètre, ciseaux, calculatrice mais aussi jumelles, boussole et tuba! sans oublier bien sûr de quoi écrire puisque chacun recevait lors de l'inscription un questionnaire qu'il s'agissait de compléter au gré des étapes. Le cadre choisi était constitué des coteaux de Chalosse, de Montaut à Poyanne via Mugron, Laurède et Montfort le matin, puis de la plaine de l'Adour l'après midi. L'arrivée était jugée à Vic d'Auribat. Hauteur de clochers, noms et professions de personnages locaux célèbres dans leurs villages hauteur maximum de cours d'eau lors des crues mais aussi prix des premières 2CV lors de leur sortie... telles étaient quelques unes des diverses réponses qu'il convenait de trouver. De nombreux lieux d'intérêt, souvent inconnus des participants jalonnaient le parcours: Fontaine des cent marches, Escaraillette, Trou de Madame dans lequel l'eau possède des vertus médicinales. Certaines y firent d'ailleurs courageusement trempette!
              A midi le pique nique était tiré des coffres à Montfort en Chalosse, belvédère bien connu offrant de ses 110 mètres d'altitude une vue remarquablement dégagée.
              Si les navigatrices durent orienter leurs pilotes tout au long du parcours, ces derniers ne se contentèrent pas de manier le volant puisqu'ils durent, yeux bandés coudre un bouton à un endroit précis sur un morceau d'étoffe prévu à cet effet. Jeu d'enfant!!! Les dames participèrent elles aussi à ce fil rouge:  elles durent planter un clou de belle taille dans une planche en laissant dépasser sa tête de 15millimètres très précisément, sans instrument de mesure bien sûr! Un pied à coulisse impartial veillait à proximité.
             Arrivés à Vic d'Auribat en milieu d'après midi, tous eurent grand plaisir, après avoir cherché les dernières réponses à partager le sympathique goûter prévu par les organisatrices et à se rafraîchir à l'ombre d'un gros arbre avant de reprendre le chemin du retour.
             Un grand merci à Martine et Sylvie pour cette belle journée de bonne humeur et de découverte!
 

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 VOYAGE A LA ROCHELLE
Organisé par Alain G.
Pour la 22^ème Nationale 2cv
A lire en regardant chronologiquement les photos du voyage
 
Jeudi 14 Mai 2015

Ce fut une agréable surprise de trouver à notre point de rendez-vous, rond-point de l’échassier en ce jeudi matin, notre Président et l’ex (président). Après quelques mises au point mécaniques, nous voici partis en direction de Luxey  par Brocas et Labrit.
Premier arrêt à Hostens pour  la pause-café ou nous avons la surprise de rencontrer une partie du club de Hinx en route comme nous pour La Rochelle.
Saucats, Gradignan, Bordeaux et la rocade jusqu’à la sortie 41.
Traversée de la Dordogne par le pont Eiffel de l’ancienne nationale 10.
Arrêt entre Bourg sur Gironde et Blaye en bordure de Gironde pour un pique nique plutôt venté et arrosé, sauf pour certains qui ont su trouver un abri !!
Route sans problème par Rochefort pour rejoindre La Rochelle. Temps plus calme, pas de pluie, juste un très fort vent sur le pont d’accès à l’ile de Ré.
Arrivée à Rivedoux plage en fin d’après-midi, installation dans le jardin pour les camping-cars et dans les chambres mises à disposition des cousins de Jacques B. pour les autres. Cousins fort sympathiques qui nous ont offert l’apéritif. Après quelques recherches nous avons enfin trouvé une pizzéria qui a bien voulu nous  accueillir pour diner à l’abri, mais c’est à pieds sous la pluie que nous avons regagné la maison des cousins.

Vendredi 15 mai 2015

Petite photo de « famille » avant le départ pour Aytré, lieu ou se tient la nationale. Un peu compliqué pour trouver un stationnement, l’accès au site de la nationale ne pouvant se faire qu’à pied pour les non-inscrits. Visite des stands, et de la bourse d’échange. Chacun trouve plus ou moins son bonheur. Pas  de visite du site d'hébergement trop boueux. A midi , déjeuner par petits groupes. Tout le monde se retrouve pour la visite du musée éphémère assez intéressant et à l’abri. Le soleil étant revenu, une petite balade sur le port et dans la vielle ville de La Rochelle est bien appréciée.
Retour sur l’ile de Ré pour un apéritif chez les cousins qui se prolonge par un repas improvisé, bien animé et bien arrosé, pour certains.

Samedi 16 mai 2015

Matinée libre, chacun occupant son temps à sa guise, en visite de l’ile de Ré, de caves, de La Rochelle ou de la nationale .En milieu d’après-midi tout le monde se retrouve à la sortie de La Rochelle sur la route de Rochefort. Danièle et Christian reprennent la route directe vers Mont de Marsan. Le reste du groupe se dirige vers Royan en faisant une étape à Marennes pour faire provisions d’huitres, langoustines vivantes et autres ingrédients pour le repas du soir. Sympathique rencontre d’une C4 camionnette de 1932 et d’un surfeur ?,  sur la jetée.
Fin d’après-midi arrivée au camping des chèvrefeuilles à Royan, installation de tente, H, mobil home. Repas pris en commun sur la terrasse d’un des mobil homes.

Dimanche 16 mai 2015

Bien que ce soit dimanche, tout le monde est prêt à 9h pour attraper le bac de 9h30. Certains profitent de la traversée pour régler quelque détails d’éclairage arrière. L’accostage au Verdon se fait sous le soleil. Un arrêt à Hourtin pour les provisions, puis un autre dans la forêt de Lacanau pour le pique-nique, et enfin à Lacanau plage pour le café, et c’est la route vers Brocas ou nous nous séparons pour rejoindre  chacun notre domicile.
Merci à Dany, Sylvie, Danièle, Marie France, Jacques, Jacques, Patrick, Jean Pierre, Christian et Dédé pour votre participation à la réussite de ce voyage.

Alain
 

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3 mai 2015 BALADALARACH 2 

Ce 3 mai 2015, jour de la St Jacques, 9 équipages étaient au RDV pour le départ de cette 2ème Baladalarach sous les yeux de notre Président qui nous a fait l'honneur de sa présence avant de s'envoler vers les Amériques.
1h40 de roulage sur des petites routes sinueuses où chacun prenait bien soin de ne pas perdre le convoi de peur de passer la journée, seul et sans repère, dans la campagne gersoise. Un premier arrêt "café-viennoiseries" dans le célèbre village bien connu du club : Viella...!!! où Catherine et Patrick nous y retrouvent et nous reprenons, pendant une petite heure, les routes sinueuses vers Marciac.
Tables et pique-nique sont installés et les 2 Jacques nous proposent un apéritif au champagne rosé pour leur fête, un ratafia de raisin est également proposé pour "arroser" l'arrivée de la petite fille de Sylvie et Patrick. Un pique-nique "alarach" partagé bien convivial et joyeux, quelques jeux sportifs pour certains, petite sieste pour d'autres et recherche de panne sur une 2cv qui a une fuite... d'eau !!!
Les 10 voitures reprennent la route, toujours aussi sinueuse et belle avec de beaux villages traversés, pour terminer la journée, 1h30 plus tard, à Labastide d'Armagnac avec un retour dans les années 60 dans le fameux "bar Tortore"
(les photos d'époque un peu jaunies en témoignent).
En fin d'après-midi, chacun repart vers sa maison, avec en guise d'au revoir une petite sérénade à la guitare faite par notre "ex vice-Président".
Une journée sans se prendre la tête, comme dans l'ancien temps : des 2cv capotes ouvertes, 200 km de petites routes, des beaux villages, du soleil, un pique-nique, un vieux bar, des rires...

UN ART DE VIVRE tout simplement !!!

Patrick
 

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Les Landes en diagonale par les pistes forestières
25-26 avril 2015
 

        Joindre l'utile à l'agréable. Tel était l'esprit de cette randonnée. L'agréable était comme à l'accoutumé de rouler, flâner, apprendre et apprécier. L'utile consistait à contribuer modestement au reboisement du massif forestier landais en associant cette année le 2CV club montois à l'association "Un enfant peut sauver un arbre". Mission accomplie: chèque adressé et transformé au mois d'octobre 2015 à Biscarrosse en nouvelles pousses de pins maritimes plantées par les enfants.
        Mise en attente en 2014 en raison du mauvais état des sous bois consécutif aux conditions météorologiques de l'hiver, la traversée des Landes par les pistes a pu avoir lieu en deux parties les 25 et 26 avril 2015.
         5 voitures du club, trois 2CV, une Dyane et une Tangara étaient au départ de la première étape sous un beau et chaud soleil à Sarron, dernière commune des Landes,  sur la "frontière" avec les Pyrénées Atlantiques. 87 kilomètres plus loin, au delà des coteaux du Tursan, après avoir sauté sans encombres de chemins agricoles, petites routes vicinales en premières pistes en sous bois à l'approche de l'agglomération montoise le groupe débouchait sur la "ligne d'arrivée" fictive bien sûr puisqu'aucun esprit de compétition n'était de la partie, à proximité immédiate de Saint Pierre du Mont. Un gué déjà traversé par le passé et quelques montées raides et caillouteuses étaient au programme; rien pour effrayer nos vaillantes petites voitures.
          Réunion au Grand Leuy en soirée. Après une petite excursion sur "l'Ile de Marie Laure", Jacques accueillait dans la bonne humeur quelques uns des participants du jour ...et du lendemain. Sympathique repas partagé.
          Dimanche 8 heures. La pluie menaçait puis se décidait à tomber sur les onze voitures parties quelques minutes plus tôt avec pour destination Biscarrosse par les pistes forestières cette fois. Sept 2CV, une Dyane, deux Tangara et une Visa composaient la colonne qui se faufilait dans le dédale de pistes du massif landais: Brana, Lanes de Goua précédaient Pellegarie, Moulin Vieux, Borne du Capitaine et autre piste du moulin à vent... de jolis noms pour quelques uns des lieux traversés. Plus loin Gaillèbes puis Bouhémy annonçaient la proximité de Labouheyre. Trois heures s'étaient déjà écoulées pour environ 70 kilomètres. La moyenne n'était pas, rappelons le l'objectif. La pluie avait cessé; le soleil commençait à réchauffer l'atmosphère. La Bohèira: Le groupe avait rendez vous au Centre de Secours pour une visite sur le thème de la forêt et de la lutte des soldats du feu contre ces incendies qui détruisent régulièrement  le massif. Belle et instructive pause pédagogique  autour chef de garde du jour. Séance de travaux pratiques même pour certaines... Nous apprîmes tout sur CCF, dévidoirs, ARI (bouteilles d'air)équipé de son "homme mort" ou plus officiellement de sa "balise sonore de localisation" qui comme son véritable nom l'indique sert à empêcher que tourne au drame tout malaise dont pourrait être victime un pompier engagé face aux flammes. Une heure de visite et des réponses aux nombreuses questions.
Pique nique au bord de la plage du plan d'eau de Peyre...
Il est 13heures 45; c'est de nouveau le départ... Contact... et nouvelles pistes: Cantaure et son vieux chêne, Médous, Marlenx (un petit tour pour rien suite à une erreur sur une piste débouchant... dans les champs...), Baxente, Grand Ligautenx, La Pandèle. Le littoral approche; il y a de plus en plus de sable sous les roues... Les voitures commencent à surfer...Tuc de Piche, longue ligne droite, sable profond et tôle ondulée, ou plutôt montagnes russes... Vigilance, ça peut taper... La dernière piste - piste intercommunale n° 17 - relie la route Parentis/Sanguinet à Biscarrosse. Fin de parcours au bord de la plage. Retour vers Mont de Marsan de nouveau sous la pluie battante sur une partie de la route. Les voitures ont à présent bien mérité un bon lavage...
 
Nous remercions:

• La DFCI de Mont de Marsan et les Présidents d'ASA de DFCI des zones  traversées qui par leurs autorisations exceptionnelles ont permis à cette randonnée d'avoir lieu.

• Les pompiers de Labouheyre, leurs Chef de centre, Chef de garde et personnel de permanence pour le temps qu'ils nous ont aimablement consacré.

 

coordonnées de l'association "un enfant peut sauver un arbre":

www.unenfantpeutsauverunarbre.com

voir notamment les rubriques:

• "information" ­ → "votre livre de connaissance"
• pour vos petits enfants: "actions"→ "le petit livre vert"
   

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SORTIE LOT ET GARONNE DES 28 ET 29 MARS 2015
Organisée par Frédérique C. et Alain G.
 

Samedi 29 Mars 8h30

Cinq 2cv, une Tangara et un HY sont alignés sur le parking du magasin CARREFOUR à Mont de Marsan pour conduire Sylvie et Jean Marc, Frédérique et Paul, Alain et Agnès, Grégoire et Alice, Jacques et Sylvie, Dédé, et Marie France, Alain et Ibis vers le Lot et Garonne sous un ciel quelque peu couvert.
Sous la pluie nous retrouvons à St Justin Danièle et Christian, Bruno son épouse et leurs deux enfants.
Le groupe complet de 9 véhicules s’élance en direction de Gabarret étape choisie pour un arrêt café/viennoiseries  sur la place des arènes.
20Km plus loin, nouvel arrêt à Durance pour faire le tour  de la résidence de chasse d’Henry IV  et l’intérieur de la petite église du village ouverte spécialement pour notre groupe par la mairie.
Nouveau parcours d’une vingtaine de Km pour atteindre la commune de Buzet sur Baïse où nous sommes attendus pour une visite de la cave coopérative suivie , comme il se doit d’une dégustation.. Le temps étant venu de se restaurer, nous nous installons sur une aire aménagée  au bord du canal de la Garonne. Les abris des emplacements de pique-nique étant loin d ’être étanches, c’est sous quelques gouttes de pluie que nous  déjeunons, le soleil faisant tout de même quelques brèves apparitions.
Pas le temps de faire la sieste, nous voilà repartis en direction d’Aiguillon ,  Clairac, et Laparade , charmant petit village situé sur une hauteur de laquelle nous pouvons admirer la vallée du lot. Un petit tour à pieds du village et nous voilà repartis vers Coulx à 20 km ou nous sommes attendus  par Madame et Monsieur Calmels exploitants d’une ferme agricole qui nous font découvrir leur activité de producteurs de pruneaux d’Agen . Nouvelle dégustation de produits solides et liquides.  Dans le même village nous pouvons accéder au sommet d’un moulin à vent  en  état de fonctionner et admirer le travail de  restauration commenté par un de ses maître d’œuvre.
Une partie du groupe rentrant sur Mont de Marsan nous nous quittons au Mas d’Agenais . Ceux qui restent  vont s’installer dans un gite à Buglon. C’est dans un restaurant du Pont des sables que nous dinons. Grégoire et Alice prennent à leur tour la route de Mont de Marsan après le diner. Frédérique et Paul rejoignent leur famille à Marmande. Sylvie, Jacques, Dédé, Marie France et Alain passent la nuit à Bouglon.
 

Dimanche 29 mars 9h

Changement de programme suite à une rencontre imprévue, la visite de la Collégiale du Mas d’Agenais est remplacée par une visite guidée les sites de « stockage »  des véhicules du DEUCH CAUMONT CLUB. Collection impressionnante et locaux  pour restauration des véhicules  faisant  rêver. La visite s’étant prolongée plus  que prévu, c’est avec un peu de retard que nous retrouvons  Jean Michel, Dany et Jean Pierre, Catherine et Patrick à Marmande. Compte tenu de l’heure et de la météo, la fin de matinée se résume en une  brève visite du centre-ville avant de nous installer dans un des rares restaurants trouvé ouvert pour le déjeuner.
Après le repas, direction Couthure sur Garonne où nous sommes attendus pour une visite du musée des Gens de Garonne. Marie France Alain et Dédé  reprennent la route vers 15h. Le reste du groupe assiste à la fin de la visite du musée. S'appuyant à la fois sur les techniques du cinéma et du théatre, et faisant appel à de nombreux effets spéciau  ,la maison des "Gens de Garonne", au coeur du village de Couthures  propose un voyage au coeur de la vie des  couthurains au début des années 60. Nous assistons en spectateurs privilégiés à la vie quotidienne des habitants, au gré des caprice de Garonne ( attention! sans le "la"; c'est important). Nous voici maintenant devant une maquette géante de Couthures: Une fois rappelé le cycle de l'eau, nous pouvons voir comment périodiquement le niveau du fleuve monte, les digues font barrage ou cèdent, Garonne envahit le village obligeant les sauveteurs bénévoles de Couthures à reprendre du service pour sauver personnes et biens. "Gens de Garonne" n'est décidément pas un musée classique.
Nous retrouvons nos voitures sur la place de l'église et reprenons le volant en milieu d'après midi  en direction de Mont de Marsan en nous arrêtant au belvédère de  Meilhan sur Garonne pour admirer une boucle du fleuve. Plus loin, près de Captieux une dernière halte  permet de découvrir l'étonnante bergerie ronde de Goualade.

Arrivée à Mont de Marsan vers 19heures. Une sortie particulièrement riche et intéressante.
 

 

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Sortie raquettes- refuge du Haugarou

Val du Bergons (Hautes Pyrénées)

21-22 Mars 2015

 

Samedi: 4 voitures sont au départ en ce début de matinée du 21 mars 2015. 7 conducteurs et passagers -Jean Pierre, Jean Bernard et Concepción, Jacques et Sylvie, Anne et Jean Michel participent à la sortie; trois personnes ont en effet dû jeter l'éponge car ne pouvant momentanément pas marcher. Le temps est décidément bien maussade en ce tout début de printemps: ciel bas et menaçant, brouillard. Les petites routes, plus agréables en 2CV que les grands axes ont été privilégiées. Larrivère Saint-Savin, Renung, beau château de Saint Jean de la Castelle, Aire sur l'Adour. Un arrêt-café est prévu un peu plus loin, à Lembeye; il n'aura pas lieu car la place centrale est bouclée: c'est jour de marché. Le brouillard, lui, continue à dissimuler le paysage. La pause-café prévue se fera à Pontacq. Les raquettes ont été réservées à Argelès-Gazost. Un fois équipés les membres du groupe remontent la vallée de l'Extrem de Salles en voiture sur quelques kilomètres. Arrêt à 900 mètres d'altitude. Apéritif tiré du coffre: Jean Bernard nous régale d'un excellent Floc. Merci! Le pique nique terminé, la troupe se met en marche, laissant là les voitures soigneusement garées au bord de la piste; route forestière sur le premier tronçon puis chaussage des raquettes. Malheureusement encore, le brouillard tenace enveloppe le paysage et empêche toute vue. La marche raquettes (claquettes diront certains!!!) aux pieds n'est pas toujours évidente au premier abord et certains se livrent à quelques entrechats, déclenchant de beaux éclats de rire... Après l' effort soutenu qu'impose la prise d'altitude, et quelques franchissements d'arbres couchés par le tempête, le  refuge est finalement atteint après 3 bonnes heures d'efforts. Mais qui donc a annoncé 1h30 à 2heures de marche??? Une fois les sacs de couchage déroulés dans le dortoir c'est auprès du feu de cheminée que la soirée commence. A la tombée de la nuit, le "taxi" local, (l'engin de damage de la station de ski nordique de Couraduque) nous rend visite, venant déposer quelques passagers. Un repas montagnard roboratif  permet ensuite de reprendre des forces. Quelques chants retentissent même avant l'extinction des feux.  Une veillée  fort sympathique.

Dimanche: Il faut refaire les sacs. Le temps est toujours aussi peu engageant mais la vue s'est un peu dégagée. Shuss dans la neige pour regagner la piste en contrebas du refuge... Plus bas, au lieu dit Oueil du Bergons, nous prenons une bifurcation afin de changer de versant pour rejoindre les voiture. Et là... surprise quand ça descend... ça monte encore!!! Qui est donc ce guide qui trompe ses "clients"??? Arrivée aux voitures aux alentours de midi. Redescente dans la vallée par la route forestière. Les intempéries du début du mois ont laissé de vilaines cicatrices: chaussée éventrée, arbres déracinés... Il y a visiblement eu du travail de tronçonnage. 
Le retour dans les Landes se fait en partie sous une pluie battante. Bien sûr c'est ce moment que choisissent les essuie-glaces de Touyaga pour faire des caprices... Enfin le temps redevient sec. Arrêt à Grenade sur l'Adour pour se dire au revoir. Touyaga s'est enrhumée cette semaine et ne consent à redémarrer qu'après avoir bruyamment manifesté son désaccord: hoquets, pétarades et coupures d'allumage sont son lot jusqu'à Mont de Marsan. Tant bien que mal elle regagne son garage... Elle aura besoin cependant qu'un mécanicien se penche sur son cas... Les autres véhicules rentreront eux sans anicroches.

Il y a eu de l'animation ce week end!!!

Aux dernières nouvelles, Touyaga va mieux: Jacques T. s'est penché sur elle: vis platinées hors d'usage remplacées, elle va pouvoir repartir pour de nouvelles sorties. Un grand merci à Jacques.

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TELETHON ADOUR-OCEAN

5 DECEMBRE 2014
 

5 équipages du club, Benoît (AZAM), Jacques (AK250), Jean-Pierre et Dany (Dyane), Jean-Michel (Touyaga) et Patrick (Zèbre) ont participé, à l'invitation de nos amis du club 2CV Adour-Océan à la 9ème édition de la randonnée annuelle tous chemin dans le cadre du Téléthon. Pascal C. avait comme à son habitude concocté un magnifique itinéraire dans le pignada au départ de Castets. Ainsi, sur 64km et 943m de dénivelé démontrant que non, les Landes ne sont pas plates, nous avons eu tout loisir de vérifier une fois de plus la vaillance de nos modestes bicylindres. Ces derniers se sont joués des montées escarpées, descentes non moins abruptes, dévers, bourbiers, ornières, racines et autres zones sablonneuses, plusieurs de ces ingrédients se trouvant souvent combinés. N'oublions pas cependant le magnifique sous-bois dans le soleil matinal et le tapis d'aiguilles de pins. Certes nos voitures sont rentrées bien "maquillées" mais quel plaisir d'évoluer en forêt sur cet enchevêtrement de pistes au milieu duquel même le Petit Poucet aurait perdu son chemin... La belle convivialité qui animait le groupe de 17 2CV et dérivés et 2 4X4 d'assistance, ne gâchait pas le plaisir.

L'étape matinale permettait donc de traverser quelques beaux airials dans la lumière du soleil hivernal qui accompagna le convoi toute la journée. Le repas tiré du coffre précédé de l'apéritif offert par Adour-Océan et suivi par le tirage au sort de la tombola dotée de jolies récompenses fut pris au camping de la Jaougote qui héberge traditionnellement la manifestation.

Sur le coup de 15 heures la colonne s'élançait à nouveau pour la deuxième partie du parcours, qui proposait, elle quelques zones de "franchissement". Même l'AZAM 425cc de Benoît se hissa au sommet des Tucs les plus abrupts. En toute fin de parcours une très intéressante séquence pédagogique permit à Pascal, décidément passionné par la forêt de tout nous expliquer sur la mer de pins que nous apercevions du sommet d'un ultime Tuc -vue sur l'océan par beau temps.
Joli spectacle enfin que cette procession de phares dans le sous bois à la nuit tombée avant l'arrivée à Vielle Saint Girons.
 

Le Téléthon d'Adour-Océan, on en redemande...

 

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SORTIE DANS LE GERS DU 11 OCTOBRE 2014

Organisée par Catherine Sc. et Alain G.
 

Il devait y avoir 4 voitures au départ de Mont de Marsan en ce samedi matin 11 octobre, mais il n’y en avait que 3, Jean Marc B. n’ayant pu se joindre à nous comme prévu, pour des raisons professionnelles. C’est donc Dany et Jean Pierre G., Dédé V. et Marie France, Alain et Ibis G. qui prirent la route du Houga sous un ciel mi-figue, mi-raisin.
A leur arrivée au HOUGA, ils retrouvèrent Catherine et Patrick S ., Lazare P., Fabienne et Fabien C., Claude B. Josiane et Michel V. . Le groupe étant au complet, les thermos, les tasses et les viennoiseries offertes par le club sorties, la pause-café a pu se dérouler sous le soleil  qui faisait son apparition. Après ce premier moment convivial de la journée  les sept véhicules s’engagèrent sur la route de Toujouze. Quelque minutes plus tard, c’est à quelques centaines de mètre de ce village que nos voitures se garèrent sur la parking du MUSEE DU PAYSAN GASCON.

Accueillis  et guidés par la charmante Jessica nous avons pu visiter ce musée fondé en 1991 et qui comprend deux parties:

L’ESPACE LACAZE, maison de Maître dont Melle Lacaze, propriétaire à fait don à la commune, qui nous a permis de découvrir tous les aspects de la vie rurale à l’intérieur d’une habitation d’autrefois. (cuisine, arrière cuisine, chambre, mobilier,… et même une classe)

L’ESPACE JEAN CAPIN du nom du Président fondateur du musée où nous avons pu admirer, répartis dans divers bâtiments, les équipements, machines, et outils utilisés pour les travaux de la vigne, du vin et des champs. Entre autres quelques pièces remarquables comme un pressoir à taisson de 1823, un métier à tisser remonté et fonctionnant occasionnellement ou une maison du brassier remontée à l’identique dans sa rusticité d’origine.
Cette intéressante visite d’une heure et demie ayant aiguisé  les appétits, chacun sortit son pique-nique du coffre de sa voiture ou de son camion et c’est dans un local gracieusement mis à notre disposition par le musée que nous nous installâmes pour déguster, avec modération, la sangria offerte  par le club  avec la reliquat de l’assemblée générale, et passer à table. Le beau temps nous aurait permis de déjeuner dehors, ce que firent Josiane et Michel.  
Après un bon café, en route pour EAUZE où nous nous garons en ville. Après une visite « collective » de la Cathédrale, le groupe se sépare, certains choisissant la visite du musée archéologique, d’autres préférant une balade à pied en ville.
Vers 16h30 tout le monde se retrouve près des véhicules pour dire au revoir à Fabienne, Fabien, Josiane et Michel qui rentrent chez eux, tandis que le reste du groupe se dirige vers Nogaro.
Arrivés vers 17h à NOGARO, nous nous baladons au milieu des étals du vide grenier en attendant la Parade des véhicules anciens.  Chacun y faisant quelque emplettes.
Un peu déçus par cette « parade »  peu fournie en véhicules au vu du nombre de participants annoncés (600 voitures d’après SUD OUEST de samedi matin), et rapidement « passée »  en ville, les Gersois et les Landais se séparent au moment où Benoit et Clémence arrivent.
Malgré cette petite  déception de fin de journée, chacun semble satisfait de cette belle journée cool et ensoleillée.
 

Alain H

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RUBAN ROSE  Bordeaux 4 Octobre 2014
 

        Du 18 au 24 Octobre, Annie, Magali,Sabine et Muriel, 4 femmes motivées vont, au cours du Rallye du Ruban Rose relier au volant de leurs 2CV Nîmes à Paris. Leur motivation? Celle des comités féminins: La prévention et le dépistage du cancer du sein. Les 2CV clubs Aquitains -2CV Club d'Arcachon et Amis de la 2CV soutenaient ce samedi leur démarche au cours d'un rassemblement de 2CV et dérivés.
         Le point de rassemblement voyait dès 9h15 une bonne cinquantaine de 2CV regroupées sur le parking d'un hypermarché de Bouliac. Une fois les voitures décorées de rubans et de ballons roses, à 10 heures le convoi s'élançait en direction de la Place des Quinconces dans le centre de Bordeaux. 3 équipages du 2CV Club Montois -Frédérique, Catherine et Patrick, Anne et Jean Michel en faisaient partie. Une fois longée la rive droite de la Garonne, traversé le nouveau pont Chaban-Delmas et dépassés les nouveaux hangars des quais de la rive gauche, les bicylindres multicolores se retrouvaient rangés en épis sous les platanes de la place. Ils y étaient attendus par Lazare et sa Charleston. Café et croissants étaient offerts aux participants. Des animations diverses étaient programmées pour rythmer  cette journée ensoleillée aussi utile qu'agréable: présence de Miss Bordeaux et sa dauphine, 2CV limousine, stands de maquillage pour enfants  etc...  On dénombrait environ 80 2CV aux alentours de midi. Après le pique nique tiré des coffres, en milieu d'après midi,  les Montois regagnaient les Landes non sans quelques soucis avec le moteur de Frédérique qui consommait une quantité inquiétante d'huile. Mais heureusement elle parvenait à relier Mont de Marsan sans casse. Soulagement!
 

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SORTIE MARAIS POITEVIN
15 au 18 Mai 2014

 
                     Commençons pour une fois par la conclusion : Un énorme merci à Frédérique, l’initiatrice de cette sortie pour l’organisation magistrale de ces quatre jours : Il convient de souligner le grand intérêt des visites proposées, la qualité des divers hébergements – résidence-hôtelière et gîtes –  et le soin apporté aux itinéraires : le carnet de route particulièrement précis et détaillé éliminait tout risque de fausse direction, même sur les petites routes de campagne. Même le beau temps était réservé !
 
Statistiques :
Véhicules : 11
                        2CV :  2 deux-chevaux 4 ; 8 deux-chevaux 6
                        H : celui d’Alain et Marie-France
Kilomètres parcourus : 850
Pannes : quelques unes… freins, bobines, condensateurs et vis platinées, démarreur et un gros souci de durite d’essence.
Gros oublis : 1 (Jacques ayant oublié sa valise, fera un aller-retour express Bordeaux-Uchacq et nous rejoindra dans l’après midi). Oublions l’oubli !
 
Départ du rond-point de l’échassier jeudi matin 15/05 ; cap au nord vers Bordeaux par les routes de traverse (Labrit, Sore, Hostens).
Premier arrêt à Léognan pour un café-viennoiseries. Caroline annonce alors que sa voiture n’a plus de freins. Les mécanos Jacques et Patrick diagnostiquent  une erreur de liquide de freins : du « vert » dans le bocal de freins à tambour… cela ne pardonne pas ; tout est bloqué. La mort dans l’âme, Caroline abandonne sa voiture qui sera récupérée sur remorque (les cordonniers sont parfois bien chaussés !). Conductrice et passagère sont prises à bord de deux voitures du groupe.       
Premier temps fort du voyage : les quais de Bordeaux, longés sous un soleil radieux : Quinconces, miroirs d’eau, Pont Chaban Delmas et Pont d’Aquitaine. Nous récupérons  Lazare en sortie de Bordeaux.
Voici le Médoc. Nous empruntons alors les chemins de traverse qui nous mènent, après avoir longé de magnifiques chartreuses à la guinguette Quinquin pour un apéritif en bordure de Garonne (question subsidiaire : à Macau, Garonne ou Gironde ?). Le pique-nique sera tiré des coffres en bordure du parc du château de Beychevelle. Pendant la pause, nous assisterons au  passage d’une barge transportant un tronçon de l’Airbus A 380 saluée par les carrelets de faction. Le début d’après-midi verra notre  convoi longer certains des plus beaux châteaux du Médoc : Palmer, Léoville-Poeyferré, Pichon-Longueville, Lynch-Bages… Voici déjà le Haut Médoc, Port Richard et son fier petit phare. Arrivés au Verdon nous alignons nos voitures sur l’aire d’embarquement du bac qui nous mènera à Royan. Belle traversée de l’estuaire et vue sur le phare de Cordouan. Débarquement. Nous logerons ce soir à Saint Palais dans la bien-nommée résidence Les Flots.
Dîner animé au restaurant du Globe-Trotter.

Jour 2 :  Nous longeons un moment l’océan. Zoo de la Palmyre, Ronce-les-Bains… Pont de la Seudre et Maremne… Voici déjà Brouage : Tour des remparts et flânerie dans les jolies boutiques, toujours sous un soleil radieux. Quelques achats de produits locaux ; Tout le monde est ravi. Nouveau départ vers Rochefort. Aujourd’hui le pique-nique (huîtres pour les amateurs… s’il vous plaît !!!) se fera avec vue sur le Pont transbordeur, puis nous visiterons le musée du pont. Souvenirs, souvenirs. Laissant le pont dans nos rétroviseurs, nous traversons Rochefort et nous garons en bordure du port de plaisance. Quelques minutes de marche sur le chemin de halage nous conduisent à l’Hermione : Voguant à l’aide des américains aux prises avec les anglais pour gagner leur indépendance en cette fin de  18^ème siècle, La Fayette traversa l’Atlantique à bord de cette frégate de légende. Des passionnés terminent aujourd’hui la construction d’une réplique du navire. Les candidats sont nombreux pour la traversée de l’Atlantique à son bord ; 1^ère épreuve de sélection, éliminatoire bien sûr : montée au sommet du grand mât… Sujets au vertige, passez votre chemin… Encore une visite des plus intéressantes ! Nous approchons de l’objectif, le Marais Poitevin ; voici d’ailleurs le panneau marquant la limite du parc. Surprise à l’entrée de Saint Sigismont, notre camp de base pour deux jours : nous sommes attendus par la presse : photos et interviewes (nous attendons avec impatience l’article dans le journal local)!!!. Nous nous installons dans les gîtes retenus par Frédérique avant de nous rendre au petit embarcadère sur l’Autize où nous sommes (encore !) attendus autour d’un « chou vert » ; non, il ne s’agit pas là d’un plat local mais de l’apéritif offert par le batelier qui nous conduira demain pour une promenade en « plate » sur le marais. Le dîner en commun autour du barbecue sera particulièrement convivial et l’occasion de quelques sympathiques délires… (Marie Claire, qui a nous a rejoints du Gers avec Luc  pour ce périple n’est pas la dernière à nous faire rire !).

Jour 3                                                                                                            
Au programme aujourd’hui, promenade en barque sur la rivière - l’Autize - et les canaux. Trois « plates » et leurs bateliers respectifs nous attendent. Embarquement pour une heure et demie de découverte de la vie du marais. Nous glissons en silence au fil l’eau sous les frondaisons, poussés par les bateliers arcboutés sur leurs longues perches, les « pigouilles ». Oiseaux, plantes et arbres n’ont pas de secret pour Michel, « Moustaki » (adepte de la Cox) et leur tout jeune collègue : Le marais mouillé (il y a aussi un marais sec voué plutôt aux cultures) abrite fauvettes, pics, martins pêcheurs et autres loriots mais aussi le « lièvre du marais », nom poétique du ragondin qui, se reproduisant à grande vitesse, provoque beaucoup de ravages, notamment au niveau des berges. Minées par ces rongeurs, ces dernières finissent par s’effondrer. Un contrôle strict est donc assuré par des gardes. Mais le ragondin  finit aussi en délicieux pâtés. Nous en aurons un aperçu ce soir à l’apéritif. Quant aux essences d’arbres, on trouve notamment des aulnes, des frênes et des ormes. Après un franchissement de gué où les plates raclent le font (et où Alain manque de justesse de prendre un bain forcé ...) voici un autre moment fort de la balade : La spectaculaire et inattendue  mise à feu de l’eau: le fond du marais est en effet constitué de vase qui emprisonne des gaz inflammables. Les bateliers font remonter ces derniers en enfonçant et agitant leurs pigouilles, puis enflamment les gaz remontés en surface. « Allumez le feu ! » peut-on entendre sur les plates! L’après-midi est ponctuée de nouvelles visites : La magnifique abbaye de Maillezais est sans doute le second  point d’orgue de la journée. Mais n’oublions pas les anciens fours à chaux de Payré sur Vendée, et la Tour Mélusine de Vouvant, seul bourg fortifié de Vendée où la promenade entre rivière et remparts est particulièrement agréable. Retour par la belle forêt domaniale de Mervent. Dernier barbecue aux gîtes de l’Autize en compagnie de deux de nos bateliers du matin qui n’ont pas voulu manquer l’occasion de nous faire goûter leur production de pineau. Les sardines  de Lazare cohabitent avec quelques magrets et autres saucisses et merguez accompagnés de bonnes bouteilles. Encore une soirée particulièrement conviviale.

Jour 4
Le retour. Les bonnes choses ont une fin. Voici le convoi, sur la route du Sud, sans le H qui poursuit sa route vers Nantes. Nous devons prendre le bac au Verdon à 12h30. Nous avons le temps… Mais la voiture de Lazare a décidé de faire des caprice: Quelques coupures d’allumage, un changement de bougie… Quelques kilomètres plus loin Jacques doit s’atteler au remplacement de l’ensemble condensateur-vis platinées sur un parking en bordure de la voie rapide. 20 minutes plus tard (temps vérifié au chronomètre!), nous repartons. A l’entrée de Royan, c’est le démarreur de Luc (pilote de la 2CV4 gersoise) qui jette l’éponge. Séance de poussette –qu’il faudra renouveler à chaque arrêt, y compris pour sortir du bac- et le convoi repart. Traversée de la Gironde sans problème (les bacs seraient-ils plus sûrs que nos 2CV ?), avant le dernier pique-nique. Début de séparation : 2 voitures partent vers Bordeaux. Elles tomberont toutes deux en panne en chemin ; les bobines seront changées plusieurs fois. Deux s’attardent autour d’un café. L’une d’elles, celle de Patrick et Catherine connaîtra un gros souci de durite à Mios et perdra plusieurs heures à réparer. Arrivée à Bernède à 23h30 ! Les autres, après avoir quitté Luc et Marie Claire à Hostens rejoindront Mont de Marsan dieu merci  sans problèmes (pas de docteur es mécanique dans le groupe) vers 18h par les départementales en évitant Bordeaux.
Heureux qui comme les 2CV a fait un beau voyage. On en redemande à Frédérique !

Jean-Michel

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BALADE  DU  27  AVRIL  2014

 
En ce dimanche de fin avril, malgré un temps incertain, 11 équipages se retrouvent  dans la petite commune de Bernède, dans le Gers où nous ont donné rendez-vous Catherine et Patrick S., organisateurs de cette belle journée en perspective.
 
A 09 heures, le petit déjeuner (salé ou sucré) nous est servi à la salle des fêtes du village, où est organisé  un vide grenier. Après s’être restaurés et après un petit tour des exposants, nous démarrons nos 2CV.
 
Patrick et Catherine nous proposent de passer par le garage de Patrick ! Tout le monde est impressionné ! Cela vaut le coup d’œil.
C’est parti pour une belle balade dans le joli pays gersois. Nous traversons les villages de Lannux, (pour la petite histoire, pendant cette belle promenade, Jean-Michel et Anne ont perdu leur balai d’essuie-glace ! Envolé ! Personne ne l’ayant retrouvé, nous poursuivons. Heureusement, pour le moment, il ne pleut pas trop), puis de Verlus, où nous pouvons admirer un troupeau d’ânes qui semblent être dérangés par nos deuches.
Puis nous passons à Portet où 3 magnifiques chevaux blancs nous font une parade, à Diusse, on aperçoit une magnifique église romane en hauteur dans la verdure. Nous poursuivons par Conchez du Béarn, Tadousse, Burosse… mais à force de rouler et d’admirer le paysage, à 11h30, nous sommes … perdus.
Heureusement, Jean-Michel et Anne ont pris leur GPS, paradoxal mais très utile, même dans une 2cv.
 
Nous arrivons à Lannecaube à la Ferme de Routis Cabé.
Nous sommes attendus par les propriétaires de la ferme pour une visite guidée.
 
Qui suis-je ? Une bête à cornes calme et docile qui traîne avec sa bande de copains. Je suis l’escargot.

Francis, propriétaire des lieux nous fait visiter ses parcs à escargots, donne des explications sur leur reproduction, l’élevage et la transformation : une curiosité dans la région. Ici sont élevés, au grand air du Sud-Ouest, des escargots Petits Gris et Gros Gris. Savez-vous que l’escargot est une espèce protégée, un mollusque gastropode, hermaphrodite, qui pond environ une centaine d’œufs et qui ne vivra que deux ans.

Il est 17 heures. Nous regagnons nos voitures pour nous dire au revoir. Chacun reprend la route de son domicile en passant par Garlin, Sarron, Saint Agnet, Aire sur Adour…
 
Nous avons passé une très bonne journée. Un grand Merci à Catherine et Patrick S.
 
 
        Deuchement vôtre
        Martine

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RANDONNEE DU 6 AVRIL 2014
(tous chemins)

Une traversée du pignada par les pistes, de Mont de Marsan à Biscarrosse, avec autorisation de la DFCI,  devait avoir lieu le 6 avril, suite naturelle de la visite de Graine de forêt . Les caprices de la météo du début d’année en ont décidé autrement: le nord des Landes étant encore souvent inondé, les travaux forestiers ayant été retardés, il importait de ne pas s’aventurer en sous bois par respect pour le milieu naturel et les professionnels de la forêt. Une randonnée tous chemins  de remplacement a donc eu lieu sur un trajet totalement différent vers le sud du département, jusqu’à la limite des Pyrénées Atlantiques. 6 voitures du club (12 personnes) ne craignant pas l’eau, la boue et la poussière ont effectué les 160 kilomètres du parcours sur pistes et petites routes par une très belle journée printanière.
Après avoir dépassé Bascons le convoi faisait une première halte face à la chaîne des Pyrénées particulièrement belle dans la lumière matinale. Contrôle de connaissances sur les principaux sommets visibles à l’horizon : Pic du Midi de Bigorre, montagnes de Cauterets, Gabizos, pic de Ger, Pic du Midi d’Ossau et pic d’Anie. Vainqueurs du questionnaire : Patrick et Catherine. Incollables sur la question, ils reconnurent aussi nombre d’autres sommets comme le Pic Atchou, les Pics Ador et Ilio tous deux gravis au 17^ème siècle par les espagnols, le Pic Adilly vaincu par une cordée anglaise, sans oublier le Pic Rate et le Pic Tionary (ce dernier très amusant à escalader)… Pic Onbière, Pic Pocket et Pic Sou n’émergeaient pas encore de la brume… Poursuivant notre périple, Catherine proposa un petit détour du côté d’Aire sur l’Adour pour admirer les magnifiques haras du château du Saint Jean. Poursuite de la progression par Duhort-Bachen, une portion du chemin de Saint Jacques de Compostelle avant l’arrêt pique nique à Latrille. L’après midi débuta par un chemin marquant la « frontière » Landes-Pyrénées Atlantiques et un premier arrêt près de la Pierre du Diable à Sarron. Les Landes comportent nombre de vestiges mégalithiques que nous ne soupçonnons souvent pas. Sorbets, Mauriès furent dépassés avant la montée sur Vielle-Tursan. Un gué offrit au passage un rafraîchissement express aux véhicules. Plus loin encore le convoi stoppa près du Menhir de Guillay dressé sur le plateau de Larrivère puis près de l’allée couverte de Pythié, sorte de dolmen protohistorique néolithique fait d’énormes blocs en partie renversés. Au milieu existe un trou profond qui d’après la croyance populaire se remplit d’eau à certaines phases de la lune. Selon la légende cette eau permett(r)ait aux femmes stériles de devenir fécondes. Rencontre imprévue avec un magnifique tricycle anglais membre des VPM. Passée Grenade sur l’Adour les deux derniers tronçons hors bitume ramenèrent les participants près de Mont de Marsan. Séparation, chacun regagnant qui Aire sur l’Adour, qui Uchacq, Saint Perdon, Mazerolles ou Saint Pierre du Mont. Rendez-vous sans doute dans un an pour la traversée repoussée Mont de Marsan- Biscarrosse… si les dieux de la météo le veulent bien. 

Jean-Michel      

 

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RANDONNEE DU 5 AVRIL 2014
"GRAINE DE FORET"

Une randonnée Landes-Forêt est organisée par Jean-Michel N.
Le rendez-vous est donné pour le TOP DEPART à 09 heures, à l’aire de co-voiturage de Coumassotte.
Tout le monde est à l’heure et nous accueillons pour leur première sortie Jean-Claude et Monique Q. et leur méhari jaune. Bienvenue à tous les deux.
Les 10 équipages, Jean-Michel en tête, partons pour Garein. Arrivés à 09h30, des croissants et chocolatines nous sont offerts.

A 10 heures, nous sommes accueillis par le responsable et son guide de l’espace muséographique « Graine de forêt », centre de découverte de la Forêt des Landes.  Grâce à l’homme, la forêt fabrique du bois. Graine de Forêt est le premier centre de découverte ludique et pédagogique dédié à la forêt landaise.
Le matin, le parcours débute dans une maison à colombage de XVIIIème siècle. Les guides nous racontent la gestion durable de cette forêt cultivée et des dérivés industriels si souvent insoupçonnés. Le but de cette visite : nous faire comprendre l’histoire de la forêt, les milieux et ses hôtes, les hommes qui la font vivre.

A midi, nous pique-niquons à côté du musée. Chacun sort son casse-croûte… et bon appétit. Avant de partir, les guides nous ont confié les clés de l’église de Garein. L’église Notre Dame de Garein est un monument historique qui se trouve sous un triple patronage : la Vierge Marie, Saint-Antoine père de monachisme et Saint Jacques puisque située sur une voie parallèle de Compostelle. Elle a été construite au 12^ème siècle mais le porche a été incendié lors des guerres de religion. Jusqu’au 19^ème, elle formait avec seulement deux maisons le centre du village. Très belle église restaurée avec de belles couleurs à l’intérieur.

A 14 heures, nous démarrons les voitures  pour une belle balade au travers des sentiers de la forêt landaise, précédés de nos guides.  Ils nous font découvrir une architecture en bois, appelée « lit transcendantal »… Chacun apprécie à sa façon cette énorme construction. Puis nous suivons un sentier forestier jalonné de pins rangés bien en ligne, les uns à côté des autres. Les guides nous expliquent comment sont éclaircis les pins et comment on détermine leur âge. Nous découvrons aussi une maison landaise de 1821  inhabitée, puis une nouvelle architecture « Table renversée » en témoignage de la tempête Klaus. Nous sommes guidés vers une parcelle de pins qui vient d’être plantée. Les petits pins sont souvent visités par les animaux comme les lapins, les lièvres et les chevreuils qui adorent ces jeunes pousses.

Puis la balade se termine sur un airial, où nous apprenons tous les secrets pour mesurer la hauteur d’un arbre, son âge, son volume. Chacun d’entre nous va pouvoir semer sa petite graine. Nos semis seront ensuite placés en pépinière, véritable nurserie ou les jeunes plants seront élevés pendant les six premiers mois de leur vie avant d’être plantés définitivement.
Il est environ 17 heures, notre randonnée dans la forêt landaise est terminée. Après s’être dit « au revoir », nous regagnons nos foyers.
Très belle randonnée. Merci beaucoup Jean-Michel.
 
Deuchement vôtre                                                                         
                 Martine

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XX Encuentro Mundial de  Amigos del Citroën 2CV
et désert des Monégros
31 juillet au 4 Août 2013

 

Voir photos  sur :
https://picasaweb.google.com/104442998026939685997

 Voir film Aragon télévision sur :
http://alacarta.aragontelevision.es//programas/un-dia-de-feria/cap-13-alcaniz-08092013-2206

             
Ne pas participer à la  20^ème rencontre mondiale  2CV qui se tenait à Alcañiz, dans la province  de Teruel, Bajo Aragón , à quelques 300 kilomètres de Mont de Marsan était une chose  d’autant plus difficilement imaginable  pour les membres du club, qu’au delà de  l’attrait  de la rencontre elle-même, la région où elle se  déroulait présente un intérêt touristique incontestable.
             Les équipages du club étaient donc à l’heure au départ de la sortie de 5 jours , destination Espagne en ce  Mercredi 31 Juillet.
 

 
             1^ère étape : Mont de Marsan - Pau-Col du Pourtalet – Huesca -Sariñena.
 
              Après le contournement  de Pau par de petites routes sur les coteaux de Gan, puis la traversée de Laruns  le convoi de 2CV et dérivées attaquent rapidement les pentes du Col  du Pourtalet que toutes atteignent sans difficulté, parfois même obligées de ralentir derrière des véhicules de touristes...
Alain est fier d'être en haut avec son Hy mais un coup de fil l'oblige à nous quitter et rentrer seul à Mont de Marsan pour raison familiale, nous sommes bien tristes de le laisser repartir. En revanche , nous avons le plaisir de voir Danièle, Christian (et Yoyo...) qui nous ont fait la surprise de venir nous attendre en haut su Pourtalet.
Arrêt obligé dans les ventas ... puis descente versant espagnol, avant un pique nique tiré des coffres , à l’ombre , sur les  pentes  parfois vertigineuses du Puerto de Hoz de Jaca au dessus  du barrage de  Bubal. Passée Sabiñanigo, voici les pentes du redoutable Puerto de Monrepos. La chaussée a beau être large et le revêtement excellent, le pourcentage n’en  est pas moins élevé. Les moteurs sont mis à rude épreuve, d’autant plus que la température ambiante est élevée : 3^ème  , 2^nde ...voici tout de même le sommet. Le moteur de la 2CV 4 de Frédérique claque... Jean  Bernard, notre  « docteur en 2CVlogie » rend son verdict : une bielle  n’a pas supporté la montée du col. La voiture devra être abandonnée à l’étape ce soir, si elle y arrive. Poursuite de la route. Traversée de  Huesca où le groupe se scindera  involontairement en deux avant de se reformer à la sortie de la ville. Petite péripétie pour une partie des équipages : Surprise au tout début d’une rue en sens interdit( !!!)...elle fera la traversée de la ville  sous bonne  (mais aimable) escorte de la Guardia Civíl... Arrêt au village de Piracés pour voir au passage  la sculpture moderne  -« àrboles como arqueologia » puis  au pied des ruines de la forteresse musulmane du village, la  fuente-aljibre (fontaine-citerne). Plus loin le groupe  s’engage sur les premières pistes de l’itinéraire : Màrcen – Uson –Alberuela de Tubo  sous les Torrollones, beaux reliefs caractéristiques de la région. L’étape s’achève à
Sariñena où  la  « Touyaga » de Jean Michel  se retrouve sans freins. « Docteur Jean Bernard » est une nouvelle fois consulté : maître cylindre, mais la réparation pourra attendre le lendemain.
Soirée à l’hôtel Alcanadre.
 
            
             2^ème étape : Sariñena – Caspe – Alcañiz - Caspe
 
            La 2CV de Frédérique est mise à l’abri dans le garage de l’hôtel et sera récupérée plus tard. Cap sur Caspe où le camping a été réservé puis, en raison du changement de  jour de passage du raid Mar a Mar (auquel participe notre ami Patrick S.) route vers Alcañiz où se déroule la mondiale. « Visitores del día » nous  serons tenus à l’écart de la manifestation proprement dite et ne verrons que peu de 2CV, devant nous contenter de déambuler sous 40°C entre quelques stands de vente de pièces détachées ... Sommes nous venus pour cela ?
Retour donc au camping par une nouvelle piste. Tout le monde profite dès l’arrivée  de la piscine  avant une soirée très conviviale autour de quelques verres de l’amitié. Le maître cylindre de freins de Touyaga  est aussi remplacé  par Jean Bernard , décidément toujours particulièrement serviable et disponible.
 
             3^ème étape : Caspe – Chiprana – Sàstago – Alborge – Salinas de Bujaraloz – Belchite - Caspe
 
              Départ en matinée pour une partie du groupe (l’autre reste au camping pour une journée de farniente au bord de la piscine) pour un périple dans  un triangle Caspe – Bujaraloz – Belchite. Les 200 kilomètres environ du parcours comprendront  aujourd’hui une bonne dose de pistes. La Mar de Aragón, immense barrage sur l’Ebre est traversée à Chiprana. Les voitures s’engagent alors hors bitume dans des paysages dignes de l’Ouest américain ou du Mexique. Petite pause pour bavarder un moment avec un berger qui garde son troupeau de brebis puis poursuite jusqu’au Mirador de l’Ebre d’où la vue est très belle sur le fleuve. Le trajet se poursuit ensuite jusqu’au village d’Alborge où  l’on peut découvrir la nevera , puits à neige qui permettait jadis aux villageois de disposer de glace tout l’été. Remontée vers Bujaraloz, toujours par les pistes et arrêt au bord de la plus grande « salada » (lac salé) de la région, la Laguna de la Playa  où  par le passé on exploitait le sel de manière industrielle. Surprenant en plein désert !
Adresse recommandée  (n’est ce pas Grégoire ?) pour le repas : Le restaurant El Español à Bujaraloz où un buffet pantagruélique est avalé. Pas le temps de musarder...La destination de l’après midi  est Belchite et la traversée des magnifiques paysages steppiques de la Lomaza et du Planeron.
Visite de Belchite : Le Pueblo Viejo de Belchite  fut le théatre d’affrontements sanglants en 1937 entre les forces républicaines et les nationalistes . Les ruines du village, restées en l’état, en  portent un témoignage  particuliè-rement poignant. Retour à Caspe.
 
 
             4^ème étape : Caspe – Jubierre – Sariñena – Alcolea de Cinca – Barbastro – Alquézar – Sieste
 
             Cap au Nord : Le convoi lève le camp à destination de Sieste, au dessus de Boltaña , au pied des sommets du massif du Mont Perdu sur l’envers du Cirque de Gavarnie. Après quelques  kilomètres de route, les voitures s’engagent à droite sur la piste de Jubierre  qui relie la  A2221 à proximité de Castejón de Monegros  à la  A 131 Sariñena-Fraga. Encore quelques kilomètres plats puis la piste plonge brutalement vers le barranco, Colorado miniature. Deux lacets vertigineux et voilà  des terrains moins  abrupts. Là, l’érosion a donné naissance à des cheminées de fées, clochetons et tozales (éperons) en tous points remarquables. Une beauté à couper le souffle ! Quelques heures supplémentaires permettraient de se « perdre » avec plaisir dans ces lieux incroyables. Les  équipages saluent ensuite au passage l’Ermita de San Miguel avant de traverser le rio Alcanadre qui arrose des zones maraîchères et de retrouver le goudron. A Sariñena Frédérique  vide sa 2CV en panne ; elle la récupèrera dans quelques jous. Sandrine  et  les ados  quittent comme prévu le groupe pour rejoindre la côte  méditerranéenne. Les  7 voitures rescapées rejoignent alors par une nouvelle piste, plate et rectiligne cette fois  Las Ripas  au dessus d’Alcolea de Cinca : Champignons gigantesques et falaises  verticales, las Ripas , sont un excellent belvédère sur la vallée du Rio Cinca, issu des sommets pyrénéens que l’on distingue à l’horizon, mais gare au vertige ! La route se poursuit jusqu’à Alquézar, village médiéval accrochée à son piton au débouché du Rio Vero bien connu des adeptes du canyoning. Etape du soir à La Casa Piquero  au village de Sieste, lui aussi blotti au sommet d’un nid d’aigle. L’accueil de « Mamy Piquero » (en réalité Teresa) est particulièrement charmant et dévoué. Après l’habituelle « cervezita » proposée à l’arrivée et accompagnée de quelques rondelles de salchichón, le repas est toujours aussi ... copieux... Copieux n’est d’ailleurs pas  mot assez fort... Seul un séjour à  la « casa » peut permettre de mesurer l’abondance  et la variété des  plats  servis... Une petite idée ? Sopa de pasta, ensalada de la casa, canelloni, paella  jamón pour se mettre en appétit ; cordero a la plancha, conejo, pollo, albondigas... pour continuer, avant fruits et dessert : flan casero, cuajada, helado... Non, ce ne  sont  pas là la liste des plats au menu ; c’est tout pour tout le monde !!!  Et le vin !!! Il faut goûter la cuvée  Piquero au moins une fois dans sa vie ! Seul notre Jacques  sait faire le même... en blanc !!! Bonne nuit !
 
             5^ème étape : Sieste – Aínsa – tunnel de Bielsa –  Saint Lary - Hourquette d’Ancizan – Tarbes – Aire sur L’adour – Mont de Marsan 
 
 
             Le retour : Photos souvenir et embrassades avec  « Mamy 
Piquero » et sa soeur devant la casa ; « Hasta otra vez ! » nous revien-drons !
Après avoir fait le plein de carburant, de  provisions pour le pique nique et de courage pour la montée , les  6 dernières voitures -  Dédé et Frédérique nous ont devancés tôt ce matin  - commencent à grimper vers Bielsa et le tunnel éponyme. Bigre ça monte raide et ça se redresse encore ! Les moteurs et boîtes de vitesses sont de nouveau à la peine. Près du tunnel, la file est arrêtée : des feux régulent le passage pour éviter tout incident. 2 fois, le feu repassera au rouge devant nous ; 2 fois 11 minutes ; long, très long quand les moteurs  à refroidissement à air surchauffés  par la montée sont privés de ventilation extérieure. Vert ! la progression reprend dans le tunnel. 6,5% ; la pente est toujours forte et la vitesse  de 50km/h minimum  imposée reste inaccessible ; « j’voudrais bien ... oin, oin, oin... mais j’peux point  oin, oin, oin... ! ». Enfin la lumière ! La vallée  s’ouvre devant nous ; mais il faut encore descendre. Pente raide, très raide et lacets... Il faut économiser les freins sous peine de... Arrêt près de la chapelle des templiers à Aragnouet : La Tangara de Grégoire a perdu ses freins dans la descente. La décision est prise de pique -niquer au plus tôt. Grégoire et Alice  quittent le convoi, préférant rentrer directement par l’autoroute, par sécurité, car un col est encore au programme . Saint Lary, Guchen. A gauche toute vers la Hourquete d’Ancizan, empruntée au mois de juillet par le Tour de France. Montée au train dans la file de touristes puis descente vers Payolle ; ç’est encore bien raide dans le haut et Grégoire n’a pas eu tort  de  nous quitter. Photos dans la descente d’adorables ânons. A Campan  les  Mariolles  (poupées en chiffons à taille humaine exposées devant les maisons) regardent passer notre convoi. Bagnères de Bigorre, Tarbes... la partie la moins intéressante du trajet reste à parcourir. Mont de Marsan est atteinte en début de soirée. Les 2CV et cousines vont enfin pouvoir souffler...
 
Kilomètres parcourus : 1300 dont 100 de pistes
Voitures perdues en route :1
Pannes : 2 freins : Tangara de Grégoire et Touyaga de J. Michel  (le « T » portait il la poisse ?) ; 1 moteur :  2CV 4 de Frédérique)
Kilos pris chez « Mamy Piquero » : 3 (si, si !!! non , non pas les 2CV !!!)
Courses sur route : xxx entre Jean-Bernard, Jacques et Patrick. Le gagnant est .... ? (bien sûr). Jacques reste "fanny" pour les dépassements...
Sourires : des dizaines accompagnés de  bravos et signes de la main lors des traversées de villages.
 
Prolongations 5, 6 et 7 Août
 
 5 Août  au soir: Deux deuchistes remontent  d’Alcañiz et appellent au secours, pour suspicion de  boîte de vitesse cassée. Notre président reçoit le SOS et met la chaîne d’entraide et solidarité deuchiste  en alerte.
 
6 Août: La remorque de Dédé est mise à contribution pour récupérer la 2CV en  panne au camping d’Aire sur l’Adour. Elle est ramenée chez Jacques ; le moteur et la boîte de vitesses sont sortis de la voiture dans la matinée. Après un « poulet-patates » mitonné par Jacques, le second  « docteur en 2CVlogie » (mais pas « que » ; il a d’autres spécialités et compétences en mécanique) du club , Benoît, intervient. Verdict : la boîte de vitesse fonctionne encore (plus ou moins bien , certes), mais le disque d’embrayage est purement et simplement cassé. Il est remplacé. Le pot d’échappement ayant des envies de liberté, il est mis au pas par quelques points de soudure par la main experte de Bernard. L’ensemble de la voiture est remonté  - au vu du nombre de pièces démontées dans le garage de Jacques on n’est pas loin de l’exploit ! Impressionnant !
 
7 Août : la voiture reprend la route dans la matinée. Bel exemple de disponibilité et de réactivité de la part des membres du club ayant prêté leurs compétences et leur matériel.
 

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Sortie tous chemins    11-12 Mai 2013    Val d’Azun

Voici en quelques lignes résumée la sortie tous chemins des 11 et 12 mai 2013. Son but était de rejoindre au départ de Mont de Marsan et par un maximum de chemins non goudronnés le haut Val d’Azun- col du Soulor (Hautes Pyrénées).
 
              6 voitures au départ de Mont de Marsan samedi 11 mai dès 7 heures du matin : 3 Deux-chevaux, 1 Dyane et 2 Acadianes. La 7^ème voiture, la Deux-chevaux raid des Gersois rejoindra le groupe en chemin
 non loin d’Aire sur l’Adour.
 
             Dès les premiers mètres le ton est donné quant à l’état dans lequel seront les voitures à l’arrivée. Il a en effet beaucoup plu récemment et les sous bois sont particulièrement détrempés. Eau et boue seront au menu de la journée assaisonnées de pierres et cailloux. Personne ne s’en plaindra ; c’est bien l’esprit de la balade. Benquet, Saint Maurice, Grenade sur l’Adour et Larrivière seront tour à tour dépassées. Cap au sud. Après une bonne quarantaine de kilomètres l’équipage gersois  rejoint les montois. Premier arrêt pour le traditionnel café-viennoiseries. Le convoi est sur le chemin de Saint Jacques e Compostelle et quelques pèlerins sont aussi en marche. Après le franchissement du premier gué de la journée, les voitures longent le lac de Miramont-Sensacq avant de traverser la nouvelle autoroute des Pyrénées. Après Garlin, nouvel arrêt pour acheter du pain cette fois dans le charmant bourg de Sévignac-Méracq. Se présente alors le 2^ème gué , plus long, plus profond, que les vaillantes petites Citroën franchissent sans encombres au grand amusement de leurs pilotes et passager(e)s –juste un peu d’eau par les portières ou les pédaliers...
Escoubès, Menjoulet, Crouquet (cartes au 25.000^ème impératives) Sedzère... l’heure avance et les croissants sont déjà loin. Il faut penser au pique nique. Les voitures, tels les chariots bâchés des pionniers du Far Ouest sont rangées en cercle pour couper le vent frisquet qui souffle sur le lac de Gabas. Ce sont les Saints de glace et malgré le soleil,  la température est fraîche. Un peu de pineau des Charentes (avec modération) réchauffera les organismes. De délicieux cannelés maison (merci à la cuisinière !) couronneront le repas tiré du coffre. Le troisième et malheureusement déjà dernier gué de la journée est déjà là. Encore quelques gerbes d’eau... et voilà Espoey. Encore quelques pistes plates puis il va falloir commencer à escalader les coteaux pré-pyrénéens sur les pentes desquels mieux vaut avoir 3 chevaux que 2, mais tout le monde arrive en haut à son rythme. Nous ne sommes pas en compétition mais juste en quête de plaisir au volant et de convivialité. Barlest, chemin des étoiles près de Bartrès, Loubajacq... Une portion du chemin Henri IV dépose le convoi aux abords du lac de Lourdes. Petit arrêt près de la Peyra Crabèra qui, selon la légende est une pauvre femme pétrifiée pour avoir désobéi en se retournant pour voir l’engloutissement de la ville de Lourdes sous les eaux du lac... Voici le verrou du Pibeste et la vallée d’Argeleès. Dépassée la tour de Vidalos, nouvelle et sérieuse grimpette vers Ouzous, Salles et le val du Bergons. Le dernier tronçon de piste est particulièrement gras : Les engins de débardage sont passés par là et le sol est défoncé. Les 7 voitures franchiront néanmoins vaillamment ce dernier obstacle au prix de quelques glissades... en navigant dans 20 centimètres de boue sur 2 bons kilomètres. Aucun, Marsous, Arrens... Voici le chalet du Soulor au sommet des 7 kilomètres de lacets rendus célèbres par le Tour de France. L’apéritif reconstituant après cette rude première journée était offert (merci à eux !) par l’équipage Zebra. Repas, nuitée puis petit déjeuner (hum ! la tourte aux myrtilles et le pain perdu maisons !).
 
Dimanche : descente à Arrens puis, la chapelle de Poey Laün étant fermée, montée au lac d’Estaing par le col des Bordères. Là le paysage montagnard est particulièrement beau avec ses sapins verts foncés, ses feuillus verts-clair  tous surveillés de haut par les sommets enneigés. Pique nique au bord du lac. Personne ne réussit à apercevoir la fée du lac qui selon la légende dort au fond des eaux. Descente par Saint Savin, Argelès, la vallée de Batsurguère, Pontacq, Sévignacq, Garlin, Latrille, Grenade sur l’Adour et Mont de Marsan.
 
Un Grand merci à Jean-Michel et sa Touyaga modifiée et préparée pour ce genre de sorties. Un week end organisé de main de maître comme il sait le faire : trouvaille des chemins, histoires et légendes, arrêts pique-nique et réservation de gîte. Et toujours un petit "plus" la fabrication d'un autocollant spécifique à la sortie. Merci encore Jean-Michel, nous avons passé un super we.

 
Voici les statistiques de la sortie:
Total : 399 km
Moyenne globale : 27,9 km/h
Moyenne déplacement : 36,7 km/h
Vitesse max : 88,9 km/h
Temps total : 14:13
Temps déplacement : 10:47
 

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AZ les Bardenas - 25 et 26 août 2012

A- comme Aventure : celle des 10 équipages participants (par ordre alphabétique) :
Alain et Marie-France, André et Colette, Dédé, Grégoire et Alice, Jacques et Monique,
Jean-Michel, Jean-Pierre et Dany, Marcel et Marie-Claude, Patrick et Catherine, Sylvie,
Jean-Marc et Lulu.

B- comme Batterie : Celle de l’infortuné Marcel l’a lâché dimanche matin à Olite. La fée
mécanicaélectrica a envoyé un bon samaritain espagnol ; ce dernier a trouvé la précieuse
batterie de secours qui a permis à l’Acadiane de repartir... provisoirement. (voir C-)

C- comme Condensateur : ceux de l’infortuné Marcel – Caramba ! l’ont lâché une première
fois non loin des Bañales de Layana (vestiges d’acqueduc et de village romains dans la
plaine de Sàdaba) avant de lui refaire le coup de la panne sur la piste du polygone de tir,
aux abords du Castildetierra et d’en remettre une couche sur la NA 2040 au retour. Jean-
Pierre a lui aussi connu quelques soucis d’allumage dans le village de Rada.
C- comme Cueva de Marin, abri troglodyte creusé par les bergers aux abords du lac du
Ferial.

D- comme Dédé dont l’anniversaire a été dignement fêté autour d’un gâteau et de bougies
(Marchal ouNGK ?) et de quelques gorgées (?) de Manzana...

E- comme Encierro : Par deux fois, notre convoi est tombé en plein encierro, d’abord à Rada
puis dans les rues de Valtierra. Nos 2 CV et dérivés ont servi de toros ! Olé !!!

F- comme Ferial (El), le barrage qu’il fallait atteindre de Rada et qu’Alain faillit ne jamais
rejoindre, perdu dans le labyrinthe de pistes...

G- comme Gâteau ; voir D.

H- comme Hoz de Arbayun : gigantesque et profonde entaille dans la montagne, creusée par
le rio Salazar. Sa soeur jumelle, plus connue se nomme Hoz ou Foz de Lumbier. Cette fois
Roland n’est pas passé par là !

I- comme Incroyable, la chance de Marcel (voir B-) : trouver une batterie le dimanche matin
des fêtes d’Olite.

J- comme Jardinage: Il y en eu quelques séances, d’abord autour de Sangüesa, puis aux
abords de l’Ermita de Nuestra Señora de Yugo le premier jour. Pour les autres, elles sont
(peut-être) passées inaperçues.

K- comme Kilomètres : 930km pour Mont de Marsan-Bardenas-Mont de Marsan.

L- comme Laza (Alto de) : De ce col dans la Sierra d’Ustarroz, une piste descend dans la
vallée. Prévue dans l’itinéraire, elle n’a pu être suivie, car interdite aux véhicules à moteur.

M- comme Manzana Verde. Après une première session d’entraînement à la fin du repas à
l’Ermitage de Ntra Señora de Yugo, certains... ont participé au marathon de ladite liqueur
de pomme dans un bar d’Olite. Tous ex aequos en 4 manches ! M- comme mecanica loca
de Marcel (voir B- et C-)

N- comme Napoléon. La route du même nom a permis à la moitié du groupe de rejoindre
directement Saint Jean Pied de Port par Fabrica de Orbaizeta (fabrique d’armes à l’époque
Napoléonienne), le Col d’Orgambidé et les sources de la Nive. Un magnifique itinéraire
dans la montagne basque. L’autre groupe est rentré par Ronceveaux.

O- comme Olite. la 2ème soirée y a été passée. Bourg en fête et concert de bandas à 3 heures
du matin sous les fenêtres de l’hôtel.

P- comme Pinzas (câbles de démarrage en espagnol). Ils ont bien servi au cours du week end.
Voir B- et C-; P- comme el Pastor : c’est près du monument au berger bardenero à El Paso
qu’a lieu le regroupement des troupeaux de retour des estives pyrénéennes à la mi-septembre.
P- comme Piste, évidemment !

Q- comme « Quand est-ce qu’on mange ? » No te preocupes ! à l’heure espagnole,
forcément ! Buen provecho!

R- comme Road Book. Le team Sylvie-Jean Marc-Lulu, ayant oublié le sien, s’est retrouvé
au col du Somport au lieu du col de la Pierre saint Martin. Promptement retrouvés !

S- comme Sancho Abarca : L’ermitage, perché sur son promontoire, au bout d’une belle piste
de 19 kilomètres, permet une vue magnifique sur la Bardena Negra. Agréable pique nique
le samedi.

T- comme Toros. Ceux des encierros (voir E-) ou ceux – toros de combat– de la ganaderia
d’Argüedas. Quand ils ont fait mine de nous charger, il n’y avait plus personne même
derrière les clôtures. Olé !!!

U- comme Ujué où une halte rafraîchissement a été faite (Merci, Trésorier !): église fortifiée et
spécialité de pralines (au fait, c’est combien le paquet, Catherine ?)

V- comme Verde ; voir M- !

W- comme Waouh ! c’est beau les Bardenas !

X- comme l’allumage de M... qui est tombé X fois en rade.


Y- comme Yugo. Soirée sympathique à l’ermitage du même nom le premier soir. Y comme
Yesa. L’immense embalse de Yesa baigne la plaine entre Pamplona et Jaca et sert à
l’irrigation des cultures même dans le désert des Bardenas.

Z- comme Zanito. Notre hôtel dans le centre d’Olite. Beau buffet de petit déjeuner.

 

 

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Dès potron-minet en ce samedi 9 juin 2012, les abords de la salle municipale d'Uchac et Parentis résonnaient du bruit caractéristique d'une petite trentaine de 2CV Citroën et dérivés, ayant toutes dépassé les 20 ans d'âge. Les participants étaient majoritairement des locaux, membres du club, mais aussi de proches voisins comme plusieurs membres du club Adour Océan ou des "deuchistes" venus de plus loin en Aquitaine ou Midi Pyrénées comme un équipage basque ou des équipages haut pyrénéens et gersois. Si la 2cv peut rejoindre des destinations lointaines – rappelons par exemple que plusieurs voitures du club s'étaient rendues par la route et la piste à Bamako (Mali) au début de 2010- elle peut aussi contribuer à découvrir des endroits cachés beaucoup plus proches mais néanmoins magnifiques. Le 3^ème rallye des festayres du 2cv club montois a ainsi permis à 28 équipages de se lancer à la découverte de la haute lande. 
           Tous les participants reçurent d'abord un Road Book détaillé accompagné d'une explication de quelques sigles mystérieux: 850m TAD, SRP ou SPP...  Parcourir 850m puis Tourner A Droite, Suivre Route Principale ou Suivre Piste Principale... Malgré ces précisions on remarquait la présence d'équipages perplexes  sur les bancs installés devant la salle municipale...
            Ce premier document était accompagné d'un dossier "énigmes" à renseigner en chemin.
             Figurait aussi dans le kit de route une fiche "CP" (Contrôles de Passage) sur lesquelles il convenait de coller des gommettes attestant du passage au bon endroit. Pénalité à chaque oubli!
             Les équipages s'égayaient alors sur routes et chemins à la recherche du bon itinéraire et de la bonne réponse. Avec plus ou moins d'hésitations tout le monde rejoignait la charmante chapelle de Parentis d'Uchacq . "Ici, la cloche, fondue en 1748 a un don particulier; lequel?" Telle était la première énigme à résoudre. Ladite cloche éloigne en effet l'orage lorsque ce dernier menace les récoltes... A l'intérieur de l'édifice on pouvait découvrir le maître autel et son tabernacle, l'autel de la Vierge et Le martyre  de Saint Laurent de Louis Anselme Lauga (1858). Passés à Cère, hormis 4 véhicules ayant choisi un parcours plus routier, les "aventuriers" s'engageaient alors "hors bitume" à la recherche du bon itinéraire. Les plus rapides ratèrent des CP... Rien ne servait de courir, il suffisait... de mettre une roue dans un trou, d'éviter une pierre ... et d'être observateur.
              A l'heure du pique nique les 28 équipages étaient regroupés au bord du lac de Brocas.
Après avoir trouvé la "quadrature du Cercle" et visité le musée des forges tous, parfaitement au fait sur la Garluche et le laitier  reprenaient le volant vers les confins de la Gironde.
              Une épreuve surprise de maniabilité les attendait en chemin sur la place centrale de Le Sen. Mais pour rejoindre l'arrivée en fin d'après midi il encore restait à trouver la mystérieuse épée rouge de Saint Jacques plantée aux abords de la Commanderie de Bessaut, gardée par le Moine barbu assisté d'un Jacquet chapeauté ... Cet ancien hospice sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle était rejoint par la magnifique "piste du siècle". Ici il fut facile de répondre aux énigmes malgré une attaque en règle de dizaines d'escadrilles de moustiques affamés.
             Au terme du périple d'une longueur d'un centaine de kilomètres, tous, même les plus égarés (il y en eut quelques uns dont les noms resteront secrets) furent regroupés sur l'esplanade de la Mairie d'Uchacq où le 2CV Club montois avait reçu l'autorisation exceptionnelle de M le Maire, que les organisateurs remercient ici, de faire poser quelques voitures pour une photo de famille. Celle-ci fut doublée non loin de là devant l'église Saint Etienne.
             L'apérif pouvait alors être servi confortablement sous l'auvent de la salle municipale. Les "festayres reprenaient des forces devant un couscous majuscule après avoir assisté à une démonstration de danse, Rock, Salsa, Lindy Hop par quelques membres de la section danse de l'ASPTT de Mont de Marsan.            
              A l'issue du repas le palmarès fut annoncé. Tous les équipages furent récompensés grâce à la générosité du Méhari Club de Cassis qu'il convient de remercier ici chaleureusement.                 
              Promettant de se retrouver pour la 4^ème édition en 2013 les participants se dispersaient peu avant minuit. Une belle journée d'aventure au départ d'Uchacq.

 

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Il faisait pourtant un temps à ne pas mettre deux chevaux dehors en ce vendredi matin d’avril, mais il en faut bien plus que quelques gouttes d’eau pour décourager des retraités du 2cv club montois.
C’est donc sous la pluie que se sont retrouvés sur le parking du Leclerc de Mont de Marsan, Marie France et Alain dans leur H en cours de rénovation intérieure, Dédé tout fier du contrôle positif, mais sans carte grise pour son acadiane joliment restaurée, André et Grégoire dans la 2cv d’André, Jacques dans sa belle Acadiane bleue et enfin Dany et Jean Pierre accompagnés de leurs
deux petites filles. Tout ce petit monde étant à l’heure au rendez-vous, le départ fut pris en direction d’Aire sur l’Adour par la route du Houga. Au carrefour des Arbouste, il manquait Dédé à l’appel.

Jacques et Dany et Jean Pierre partirent à sa recherche tandis que Marie France et Alain, qui
avaient les viennoiseries pour le petit déjeuner, et le « couple » André-Grégoire continuaient
leur route pour rejoindre Marie Claude et Marcel qui les attendaient avec un café bien chaud
dans leur belle maison d’Aire sur Adour en compagnie de Danièle et Christian et Viviane et
Jean Paul. Après que Dany, Jean Pierre, Jacques et Dédé au volant d’une autre 2cv nous aient
rejoint, nous pûmes prendre les petites routes limitrophes des Landes et du Gers qui nous
conduirent jusqu’à Pimbo, sympathique petit village sur un monticule d’où nous avons pu
apercevoir les Pyrénées malgré le temps un peu bouché. Visite de la chapelle, discussion avec
des cousins canadiens en route vers St Jacques de Compostelle, une photo du groupe et c’est
le départ vers le château de Morlanne. Visite guidée très instructive de ce monument édifié
par Gaston Phébus et magnifiquement entretenu. Malgré les caprices de son acadiane, Dédé a
tenu à nous offrir une petite coupe de champagne pour arroser l’obtention du contrôle
technique de celle-ci. Après cet apéritif champêtre, en route pour Arzacq ou une sérieuse
garbure suivie d’une poule au pot digne d’Henri IV nous attendait au bar des sports.
L’estomac bien rempli et les idées claires, personne n’ayant abusé du cru local, nous avons
suivi Henri, Cazenave jusqu’à Lespielle, au moulin de Beauregard où il nous fit une
démonstration du moulin à eau qu’il à restauré et qui fonctionne parfaitement. Marie France,
Alain, Danièle et Christian reprirent la route vers 17H alors que le reste du groupe Montois est
parti peu de temps après et suivi de peu par les Gersois Viviane et Jean-Paul ainsi que Marcel
et Marie-Claude qui sont rentré sur Aire sur l’Adour.………..
Merci à Marie Claude et Marcel pour l’organisation de cette magnifique journée qui, si elle
n’a pas brillée par la présence du soleil, à resplendi par son originalité, sa convivialité et la
bonne humeur du groupe.

Ballade tous chemins de l'Adour à l'océan
(dans le cadre du Téléthon organisé par le club Adour-Océan)
 

Deux voitures du 2CV Club Montois – la Zèbre de Patrick et Sylvie et l'AZ 58  de Jean Michel – ont répondu à l'invitation du 2CV club Adour-Océan et participé, Samedi 3 décembre à la randonnée tous chemins du 25^ème anniversaire du Téléthon.  Nouveauté cette année, le tracé ne tournait pas comme à l'accoutumé en boucle autour de Vielle-Saint-Girons, mais traçait une ligne hors bitume de Dax –l'Adour– à  l'Océan –Saint Girons plage
        Dès 8h30, les voitures étaient rassemblées devant les arènes de la cité thermale. Après un café et le mot de remerciement des dirigeants dacquois du Téléthon le convoi d'une vingtaine de voitures s'élançait en direction de Magescq, lieu prévu pour le pique nique tiré du coffre.
         En guise d'aimable mise en bouche, les voitures s'engageaient sur le chemin de halage de l'Adour non loin de Mées dont la seule difficulté était de se faufiler entre quelques branchages et autres ronces. Après un premier arrêt à l'entrée des Barthes, noyées dans une brume fantomatique d'où émergeaient quelques chevaux, les choses se corsaient quelque peu: Les prairies gorgées d'eau exigeaient d'avoir le pied léger sous peine  de travers incontrôlés voire pire de "tanquage" dans la boue d'un véritable marécage; Personne ne resta englué. Passée Angoumé, suivait un tronçon en sous-bois un peu plus "sportif" encore: Là, nos petits bicylindres étaient attendues par quelques fondrières profondes remplies d'eau par les pluies récentes, durent zigzaguer dans la boue et éviter quelques souches traîtresses. Lentement mais sûrement, guidées au centimètre par les organisateurs Dacquois, déjà bien "maquillées les voitures se tiraient de ces mauvais pas et rejoignaient Magescq. Un châssis  cependant pliait irrémédiablement sur une voiture, contrainte à l'abandon.
          Reposées –pour les voitures, et restaurés –pour les pilotes,  tous reprenaient du service en début d'après-midi sur un parcours plus sablonneux, très intéressant lui aussi dont le passage clé était sans conteste une montée "verticale" d'une petite centaine de mètres en sable profond. Moteurs hurlants en 1^ère, les voitures étaient lâchées l'une après l'autre... Si les 2CV 4x4 et légères 602cc atteignirent le sommet, pour la plupart à la première tentative, certaines durent jeter l'éponge: Parties en fin de peloton, la 425cc de Jean Michel, limitée en puissance abandonna la première au deuxième essai à une dizaine de mètres du "paradis"; la Zèbre, handicapée par son poids dut aussi se résigner à un cheveu du but! Elles furent rejointes dans leur infortune par une belle 2CV "Countryman" aux flancs en bois, elle aussi piégée par les ornières creusées dans le sable par les premières voitures. Ah si elles étaient passées en tête! Point de démérite cependant.
            La pause suivante eut lieu au bord du lac de Léon, où les deux voitures montoises reprirent en fin d'après midi le chemin du Moun, laissant le reste des participants achever leur parcours vers la plage de Saint Girons.
            Pas une rayure à déplorer côté Montois. Seul un bon décrassage a été nécessaire pour débarrasser les voitures des quelques kilos de boue embarqués pendant le périple.
 
             Merci au club Adour-Océan pour cette belle journée et ce magnifique parcours "comme on les aime". Pimenté comme il se doit sans être trop cassant il a permis de démontrer une nouvelle fois les étonnantes capacités des petites Citroën.

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50 ans de la montée de la dune du Pyla – 2CV Sahara  (7 mai 2011)

 
         Une semaine après la sortie tous chemins du club, une nouvelle occasion était offerte de quitter les sentiers battus avec le 50^ème anniversaire de la montée de la dune du Pyla par la 2CV Sahara (2 moteurs: un avant et un arrière).

         Malgré la rareté du modèle -791 exemplaires seulement sortis des chaînes Citroën – le 2CV club Adour Océan avait réussi à regrouper à Vielle-Saint-Girons (impossible en effet de s'attaquer désormais au sanctuaire classé qu'est devenue la plus haute dune d'Europe) une douzaine  d'exemplaires venus des quatre coins de l'hexagone(départements 01, 13, 40,75, 83...) et même un courageux autrichien venu par la route.

         5 équipages montois ont fait le déplacement et participé à cette sortie organisée de main de maître par nos voisins et amis de Hinx. Après un café de bienvenue deux itinéraires distincts étaient proposés sur les pistes forestières du littoral, l'un sélectif, réservé aux Sahara, Voisin et autres modèles bimoteurs ou à transmission intégrale maison, qui purent démontrer d'étonnantes capacités de franchissement,  l'autre pour les simples deux roues motrices comme les voitures montoises. Ce deuxième itinéraire présentait cependant quelques sympathiques "passages clés", sablonneux à souhait, montées, descentes, racines et dévers, très amusants. Nos vaillantes petites voitures s'en tirèrent avec les honneurs (et quelques kilos de sables); les seuls "plantages" furent dus aux arrêts intempestifs, au mauvais endroits des véhicules les précédant. Après le pique-nique fourni par les organisateurs n'ayant rien laissé au hasard, nouveau départ en convoi toutes 2CV confondues vers la plage de Vielle-Saint-Girons pour une séance photos des Sahara (presque le festival de Cannes!). La deuxième partie de l'après midi consista en une nouvelle boucle toujours en convoi, au cours de laquelle nous eûmes l'occasion de recevoir des explications fort documentées par Pascal, le "maître-es-chemins" du 2CV club Adour-Océan sur la vocation de l'airial (protection anti-incendie de l'habitat) ou sur le cheminement de l'eau dans les Landes, de la source à l'océan en passant par les lacs d'eau douce (arrêt au bord du lac de Léon) et les courants (courant d'Huchet).

           Une journée extrêmement agréable, amusante et enrichissante que ni un violent orage le matin, ni une pluie diluvienne une partie de l'après-midi ne parvinrent à gâcher. Le soleil eût été néanmoins une récompense méritée pour les organisateurs. Merci à eux.

                                                                                               Jean-Michel N.

 

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"CAMINADE" au Road Book. 1^er mai 2011

 

1^er Mai, fête du travail, maïades et muguet... jour de sortie aussi pour le 2CV Club montois.

9h30, 8 voitures s'alignaient sur la ligne de départ. Leurs équipages, 14 personnes prenaient, avant l'effort (les méninges ont bien chauffé!), quelque réconfort autour d'une tasse de café et de quelques tranches de cakes.

Puis Jean Michel faisait, lors du briefing avant-départ, les dernières recommandations et distribuait les Road books accompagnés d'un jeu de piste faisant appel au sens de l'observation des "concurrents".

Les "fauves" étaient alors lâchés, impatients d'en découdre avec les pistes et chemins forestiers prévus dans l'itinéraire.

Quelque centaines de mètres plus loin déjà ... mauvaise lecture du road book ...certains équipages se perdaient et rebroussaient chemin... "A droite" avait-on dit! Heureusement le bon itinéraire fut vite retrouvé.

TAD, TAG, SPP, SPRP... certes les consignes pouvaient paraître quelque peu obscures. Briefing, briefing!

Au terme des 40 kilomètres de la première partie du parcours, après avoir serpenté dans la campagne et être passés devant quelques belles propriétés tous se rejoignaient au lieu prévu pour le pique-nique, tiré des coffres de nos 2CV, sous un beau et chaud soleil. Les questions allèrent alors bon train pour tenter de trouver la réponse manquante pour le jeu de piste. L'organisateur innocent fut lui-même "victime" de tentatives d'extorsion, faillit tomber dans les pièges et réussit à résister aux tentatives de corruption! 

Quelques facéties et une grosse fatigue plus tard, c'était le briefing de l'après midi et le départ de la deuxième "spéciale" longue de 60 kilomètres. Trous, bosses, ornières, poussière et... branches d'arbres en travers du chemin (déjà le matin, quelques obstacles pas vraiment indépendants de la volonté de certains... avaient obstrué le chemin... la guerre faisait rage!) figuraient au programme.

Le trajet fut coupé par un arrêt-goûter au bord d'un lac dont la localisation demeurera secrète (sauf pour les participants).

A l'arrivée, après un dernier tronçon truffé de grosses ornières parcouru sous les grosses gouttes de pluie d'un bref orage qui ne parvint qu'à orner de grosses auréoles les carrosseries, déjà maculées de poussière, le jury "souverain" remit leur prix à l'équipage vainqueur. Le Podium : Christian-Martine, talonnés de près (à une aile de 2CV près) par Jacques-Anne et Patrick-Sylvie ex æquo. L'histoire ne dit pas si Christian et Martine prendront chacun un pied. Il faudra y regarder de plus près.

Le parcours s'acheva par un Saint-Pierre-Mazerolles en convoi, les participants se retrouvant chez Dany et Jean-Pierre. Le malheureux Jean-Pierre, blessé lors d'une chute de vélo la veille avait en effet dû jeter l'éponge et renoncer à la sortie. Prompt rétablissement à notre secrétaire.

Une future sortie-chemins au road book murit déjà.

                                                                                               Jean-Michel N.

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Sortie du dimanche 27 mars

A la découverte de Saint Mont via Viella …

Au volant de leur véhicule : Fabienne et Fabien, Françoise et Bernard, Sylvie Jean marc et Lucie, Michel, Louis, Viviane et Jean-Paul, Monique et Gilles, Martine et Christian, Sylvie et Patrick, Anne et Jean-Michel, Chantal et Claude, Christian et Danièle,.Patrick (au café).

Ce dimanche nous avions rendez-vous à Aire-Sur-l’Adour accueilli par un café-croissant préparé par Claude. Lucie avait aussi fait un cake au carambar. Le convoi de 12 voitures est parti jusqu’à…Viella. Après quelques allez et retour en passant par Viella, nous avons enfin trouvé le relais d’Aydie où un très bon repas nous attendait. C’est en milieu d’après midi que nous sommes allés à la fête du vin à Saint Mont, sans oublier de passer par Viella ! Balade au milieu des stands, dégustation de crêpes pour certains, de vins pour d’autres ; découverte du village, de l’église, du monastère…En repartant vers les voitures, nous nous sommes arrêtés dans une très grande bâtisse dans laquelle se trouvait la chaîne d’embouteillage du vin de Saint-Mont ! Peu de personnel pour une mise en bouteille très rapide ! Vers 17h30 chacun repart au volant de sa 2CV avec en prime quelques gouttes de pluie.

                                                                                            Sylvie et Lucie

 

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Compte rendu de la sortie à Nérac et descente de la Baïse
Dimanche 3 octobre 2010
(Jean-Pierre Gaillard)





Compte-rendu de la 12ème deuch parade
Château de Laàs (64)
Vendredi 17, samedi 18 et dimanche 19 septembre 2010

 

 

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Sortie du dimanche 18 avril 2010 – "La croisière Geaune"

Pour s’assurer que notre chère petite 2CV est bien capable de transporter hors goudron un panier d’oeufs sans faire d’omelette, le 2CV club montois proposait ce 18 Avril une balade au road-book sur pistes agricoles et petites routes, baptisée (en toute modestie, en souvenir des grands jours de la marque aux chevrons) « Croisière Geaune ». Disons-le dès à présent, les oeufs sont rentrés intacts malgré les trous et bosses du chemin (le chapeau, partie prenante du cahier des charges de la voiture a lui aussi bien servi).
Regroupement des voitures et de leurs équipages (5 deux-chevaux montoises après quelques désistements) sous un soleil radieux malgré le nuage de particules volcaniques invisibles (qui a néanmoins valu le forfait involontaire de Frédéric) sur le parking du centre Leclerc de MDM. Nos amis Hinxois (merci à eux) se sont déplacés en force avec 8 voitures dont SuperKyky et Toubkal les deux magnifiques 2CV-raid et leurs redoutables pneus à crampons et suspensions surélevées. Café et croissants avalés, road-books distribués, « briefing » effectué, c’est le départ des équipages, lâchés vers « l’aventure » toutes les 3 minutes. Chaque équipage doit en effet trouver son chemin (on ne copie pas sur son voisin ! hein Jacques !!!) en suivant les indications du RB. Direction sud où, après l’hôpital Nouvielle, les 2CV s’engagent sur un premier chemin.
Après Grenade sur l’Adour, puis le menhir de Guillay, il est amusant de suivre de l’arrière (2CV-balai de Jean-Michel et Anne) la progression des premières voitures grâce au panache de poussière levé par les roues.
Quelques uns « jardineront » un peu, se retrouvant nez-à-nez (n’est ce pas Christian, Thierry… !!!) avec les voitures parties derrière eux (« mais si ! on a déjà fait le chemin herbeux et tourné au pin parasol ! »), mais tout le monde trouvera le point prévu pour le pique-nique , sur l’aire aménagée du lac de Miramont-Sensacq.
C’est vrai, les temps ont changé… les tables-chaises pliantes sortent des coffres et seul un équipage –des jeunes !!! – sortira la banquette arrière de sa 2CV !!! Après un (léger) apéritif, quelques tartines de pâté (d’Anne), salades, charlotte (hum !!!), café et quelques gentilles acrobaties deuchistes en guise de poussecafé, les voitures repartent pour l’après midi (à l’exception des équipages Freddy-Anna et père de Freddy qui a abîmé son châssis), en suivant le chemin le long du lac de Miramont.
Très vite,elles se présentent (encore quelques 2CV perdues !) au début du « passage-clé » du trajet : les 2CV plongent vers le fond du vallon, attendues par Patrick et son appareil photo, et remontent en faisant hurler leurs mécaniques et voler les cailloux sous leurs pneus, jusqu’au petit village de Lauret. Traversée de Pimbo, Puyol-Cazalet et Bats. En haut de la côte de Vielle-Tursan on tourne à droite et on replonge dans la vallée par le chemin des Espagnons.
Dernier tronçon poussiéreux, quelques kilomètres de bitume, et voici les arènes de Geaune (eh oui ! c’était la « croisière Geaune). Mais… 2 voitures manquent encore à l’appel : Jacques a éclaté un pneu et nous rejoindra après avoir changé de roue ; quant à la 2CV (ex-Pascal) de Julie, elle finira par arriver (erreurs de lecture du road book) après avoir visité plusieurs chemins viticoles du Tursan…
C’est l’heure du goûter. Il reste quelques croissants et autres pastis landais, qui n’auront pas trop de mal à trouver preneur (on ne citera pas de nom parce que c’est un président !). De là, les Hinxois reprendront la route directe vers leur point de départ. Les montois rentreront au Moun en peaufinant « l’empoussiérage » de leurs voitures sur une dizaine de kilomètres de « pistes » supplémentaires. Séparation à proximité du point de départ. Une sympathique journée.

Jean-Michel Nanceau

Sortie du dimanche 22 novembre 2009 dans les chais de Madiran

 

Ce matin nous avions tous rendez-vous aux arènes d’Aire/Adour vers 9h30 où nous attendaient sur la "table fabrication Marcel" café, chocolat chaud et viennoiseries.

Etaient présents : Marcel et Marie-claude, Martine et Christian, Danièle et Christian, Sylvie Jean-Marc et Lucie, Viviane et Jean-paul, Sylvie et Thierry, Marie-Noëlle et Joseph, Josiane et Michel.

Vers 10 heures nous quittons Aire par la RD 39 en direction du château de Viella (32) pour une première dégustation de Madiran et de Pacherenc. Quelques artisans étaient sur le site, comme la fileuse de laine, les tricoteuses et un petit marché fermier. On quitte ce domaine pour une autre dégustation de vin au château d’Aydie (64). On reprend nos deuchs pour cette fois-ci se rendre au  "domaine Dou Bernes" d’Aydie où nous prenons notre repas. Exposition de vieilles voitures et d’une monture plutôt bizarre à deux ou quatre roues suivant les circonstances !

Dans l’après-midi nous retournerons dans deux autres domaines pour faire les derniers achats de vin, et se donner rendez vous pour la prochaine réunion.

Merci à nos gentils organisateurs, Marcel et Joseph.
 

Sylvie Bernardis

      Bravo les filles !!!  (ndlr)

 

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Participation au Téléthon à Vielle Saint Girons (5 décembre 2009)

 

Pour la première fois cette année, quelques adhérents ont pu se libérer pour participar au Téléthon à Vielle Saint Girons organisé par le Club Adour-Océan.

Ont participé : Jean-Pierre et son futur copilote Bernard, Jean-Michel , Sylvie Jean-Marc et Lulu, Danielle et Christian (et Yoyo), Anna, Patrick.

Deux super parcours, un routier et un "tous chemins", avec en prime l'après-midi chemins au road-book histoire de se perdre un peu...
Jean-Michel a eu l'honneur de pouvoir faire le parcours "tous chemins" dans la 2CV qui a fait Paris-Pekin-Paris.

Un bon repas entre les 2 balades et retour Mont de Marsan le soir.

Une loterie, au profit du Téléthon, était organisée avec comme lot une toile unique faite par notre artiste Dany Gaillard.

Cette journée a permi de confirmer le bon fonctionnement de la Dyane de Jean-Pierre et de  la Zèbre (Marc prête sa Zèbre à Jacques et Patrick) qui partiront à Bamako prochainement. Un peu de dégâts mécaniques pour la Zèbre à cause des chemins un peu cassants, mais tout va revenir dans l'ordre prochainement.

Le retour vers Mont de Marsan s'est fait avec une voiture "tordue" pour Jean-Pierre, un seul code pour Jean-Michel, sans pot d'échappement pour Patrick et sans embrayage pour Sylvie... Mais ça roulait quand même...!!!

Merci à Pascal pour ces belles promenades dans la forêt landaise, nous reviendrons l'année prochaine.


  On n'y est pas encore à Bamako !!!!